«Ils ont violé le silence électoral»

«Ils ont violé le silence électoral»
«Ils ont violé le silence électoral»

A la veille du scrutin du second tour, un coup final attise la contestation et fait éclater la journée du silence électoral. Avec deux notes différentes, un joint de…

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A la veille du vote pour le bulletin de voteun coup final enflamme la dispute et fait irruption dans le jour de silence électoral. Avec deux notes différentes, l’une conjointe des Frères d’Italie et de la Ligue et l’autre de tout le centre-droit de Lecce, le comportement du gouverneur est stigmatisé Michele Emiliano pour avoir convoqué ce matin les chefs d’hôpital dans un hôtel de la ville. Pour le centre-droit, qui dans une note ultérieure aggrave le sujet en demandant l’intervention du préfet, il s’agit d’une affaire très grave car le gouverneur “fait campagne en profitant de son rôle institutionnel”.

Une première réponse est venue du secrétariat régional du Parti démocrate, qui a contesté les méthodes d’intervention publique du centre-droit : « La Ligue et la FdI de Lecce ont violé le silence électoral. Nous avons chargé nos avocats de dénoncer les signataires de la déclaration. Nous sanctionnerons tous ceux qui continuent à violer les lois. »

La réunion, confidentielle et à huis clos, a eu lieu – comme indiqué – dans une chambre d’un hôtel de la ville. Interviewé par Télérama avant le début de la réunion, le gouverneur a déclaré : « Je suis ici pour donner un coup de main à Carlo Salvemini. Je n’ai pas pu arriver vendredi soir car j’étais à San Severo pour un autre scrutin important. Nous avons partagé le travail avec Antonio Decaro (qui, la veille au soir, a clôturé le rassemblement pour Salvemini sur la place Sant’Oronzo, ndlr)”.
Selon l’article 9 de la loi 212/56, “la veille et celles fixées pour les élections, sont interdits les rassemblements et les réunions de propagande électorale directe ou indirecte dans les lieux publics ou ouverts au public (…)”.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Journal des Pouilles

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