Père silence. Qui achète Milan et quand ?

Père silence. Qui achète Milan et quand ?
Père silence. Qui achète Milan et quand ?

Le lent passage des jours amène également le mois de juin à se terminer sans chocs sur le marché. L’effet hallucinogène de la conférence de Zlatan Ibrahimovic a pris fin presque immédiatement, car alors les mots sont restés – pour le moment – tel. Les jours passent, la presse doit, à juste titre, constamment informer les fans, mais nous sommes coincés dans un Mer du Nord trop calme, sans secousses. Une mer du Nord silencieuse, par choix ou par imposition, nous ne le savons pas, ce qui n’aide pas le club dans la prise en compte globale et quotidienne de ses premiers partenaires, à savoir les supporters. Il est juste de rappeler cette expression forte et importante de Gerry Cardinale d’il y a quelques mois et qu’il convient de nourrir, comme on le fait avec une bonne entrée au levain. Le silence auquel Ibrahimovic a fait référence lors de sa conférence d’ouverture de la saison n’est pas en ce moment une arme en faveur de Milan.. Il suffirait d’écouter les gens pour comprendre que rester silencieux aujourd’hui n’aide pas, surtout si l’on ne voit pas de mouvements importants d’un certain type.

Les négociations pour Zirkzee sont bloquées à cause des commissions demandées par Kia Joorabchian. Cela n’a pas encore échoué, car avec le Championnat d’Europe au milieu, il est logique et compréhensible qu’il puisse y avoir des jours fatigués, mais aussi les noms qui ont émergé – plus proposés qu’explorés – ont fait que l’environnement autour de Milan est devenu encore plus sombre. Les données d’abonnement, à la date de vendredi après-midi, ont été jugées satisfaisantes au sein du siège, mais il est évident et évident que les supporters qui ont renouvelé leur carte de membre l’ont fait par pur amour pour les couleurs des Rossoneri, et non parce qu’ils ont été poussés davantage par mouvements de marché qui, nous le répétons, servent à susciter l’enthousiasme à un public qui n’a pas et ne peut pas oublier que l’Inter a remporté la deuxième étoile du derby. Il y a un an, à cette époque, il y avait des mouvements explosifs entre la vente de Tonali et les arrivées de Loftus-Cheek et Pulisic et d’autres négociations qui ont contribué, notamment au niveau médiatique, à atténuer le séisme du licenciement de Paolo Maldini et Ricky. Massara qui a suscité pas mal de discussions.

Il n’y a pas un seul supporter de l’AC Milan qui, dans tous ces jours qui suivent la fin du championnat, ne pose deux questions à nous, professionnels : qui achète l’AC Milan ? Et quand? Des questions légitimes, auxquelles il n’est pourtant pas facile de répondre. De même qu’il n’est pas facile d’expliquer pourquoi il n’y a pas eu de propositions officielles à Theo Hernandez pour entamer de véritables négociations pour le renouvellement alors que Milan voulait le retenir ainsi que Maignan.

Le silence doit être rempli de paroles et d’actes. Le football a des logiques narratives différentes de celles d’autres domaines. Et l’herbe est toujours plus verte à cet égard… Avec l’espoir d’avoir tort dans les prochaines heures.

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