partis cohérents et réseau civique. Vérifier les hypothèses principales

partis cohérents et réseau civique. Vérifier les hypothèses principales
partis cohérents et réseau civique. Vérifier les hypothèses principales

Florence, le 25 juin 2024 – Cela a déjà commencé la campagne électorale de centre droit. Convaincu que le « défi des défis » pour conquérir la Région c’est un match très dur car les résultats des élections locales (et européennes) redynamisent le bastion du centre gauche dans le triangle Fi-Po-Li (dirigé, reconfirmé, Pd). Bref, il faut serrer les rangs et trouver des formules innovantes par rapport à 2020. Pour vraiment avoir un impact et essayer de laisser notre empreinte.

Les certitudes sont là. Le premier est la coalition (de plus en plus porté par les Frères d’Italie avec Forza Italia en reprise et la Ligue en pause de réflexion) : assez cohérent avec un équilibre définitif à trouver, justement, dans la période post-vote. La seconde est la force qu’il libère potentiellement le settebello toscan des maires de centre droit. C’est précisément le réseau civique mis en place par le maire de Pise Michele Conti qui a lancé la campagne électorale après le premier tour des élections administratives. Tout ne s’est pas bien passé mais la synergie a été vite retrouvée après quelques fibrillation entre l’équipe des maires et la FdI (dans la figure du conseiller régional Diego Petrucci).

Bref, nous sommes tous du même côté. En attendant une conférence programmatique et une autre réunion (à Arezzo en septembre) des listes de maires. Pendant ce temps, Michele Conti et ses collègues d’Arezzo, Alessandro Ghinelli, de Grosseto, Antonfrancesco Vivarelli Colonna, de Lucca, Mario Pardini, de Massa, Francesco Persiani, de Pistoia, Alessandro Tomasi et de Sienne Nicoletta Fabio, sonnent et ne laissez-en passer la moitié au président de la Toscane Eugenio Giani. Hier, l’attaque contre sa position sur la mesure gouvernementale d’autonomie différenciée.

“Il semble déjà sérieux – écrivent-ils à propos de l’interview publiée sur Tyrrhénien – qu’un président de région se proclame chef d’une révolte contre une réforme gouvernementale votée au Parlement, mais ce qui dépasse les marges de la relation loyale entre les institutions, faisant malheureusement mais inexorablement perdre à Giani son rôle institutionnel et avec lui sa crédibilité, c’est la considération ultérieure qui l’amène à dire que il travaillera dans les derniers mois de son mandat en harmonie avec la majorité des maires de centre-gauche, en supposant que ce soit le cas le résultat des scrutins, pour « pouvoir donner corps à de nombreux projets ». Existe-t-il donc une relation privilégiée entre le président de Région et les maires du Parti démocrate ? Existe-t-il des projets partagés pour les territoires gouvernés par le Parti démocrate contrairement aux autres ? Y a-t-il différents poids et mesures ? Les maires non PD, et avec eux leurs communes, doivent-ils s’attendre à des parcours du combattant ? Devons-nous nous attendre à une région « ennemie » simplement parce que nous représentons l’alternative au Parti démocrate ? la demande de rectification des maires de centre droit “de la part de Giani” pour que “un juste climat de sérénité et de confiance mutuelle soit rétabli, ainsi que pour lui redonner ce profil d’impartialité, de neutralité et de collaboration institutionnelle loyale qui a été perdu avec cet entretien: nous sommes convaincus que cela être là en ayant confiance que le président de région, à qui va notre estime institutionnelle, évidemment jusqu’à preuve du contraire, ne voudra pas transformer la Région en un adversaire politique pour de nombreux représentants des institutions, disposés à se tourner d’abord vers les maires « amis » et puis à tous les autres”.

Sur le devant les stratégies à mettre en place La Lega et Forza Italia sont d’un côté, Fratelli d’Italia de l’autre. Alessandro Tomasi est le candidat in pectore de FdI et de Giovanni Donzelli en particulier, très apprécié également par le nouveau député européen Francesco Torselli. Mais les deux autres partis ne le pensent pas du tout. Marco Stella, coordinateur de Forza Italia, estime qu'”il y a aussi d’autres noms” tandis qu’Andrea Barabotti, député toscan de la Ligue lance les primaires du centre droit. “Nous devons mettre en place une version américaine des primaires pour identifier le meilleur candidat, partagée sur tout le territoire – a-t-il déclaré hier dans l’émission post-vote sur RTV 38 – Nous devons partir d’une liste restreinte de noms pour arriver à une tête finale -à-tête parmi lequel choisir le bon nom”. Et lui aussi de résumer : “Tomasi ? Il y a aussi d’autres noms…”. En d’autres termes, asseyons-nous autour d’une table et discutons : d’abord de projets, ensuite de stratégies et enfin d’interprètes appropriés.

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