Violences en centre-ville, Udine interdit l’alcool dans les clubs après 13 heures et déploie l’armée. Le squeeze arrive (déjà très contesté)

UDINE – L’Armée se déplace de l’ancien Cavarzerani vers le centre ville, les patrouilles mixtes à pied de carabiniers et de policiers qui garderont davantage les rues…

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UDINE – Le déplacement de l’Armée de l’ancien Cavarzerani vers le centre ville, les patrouilles mixtes à pied de carabiniers et de policiers qui patrouilleront davantage dans les rues de la vie nocturne mais aussi une nouvelle ordonnance, déjà très contestée, pour limiter la vente de boissons alcoolisées dans les locaux, avec des arrêts à partir de 1h du matin au centre et à partir de 18h aux abords de la gare. Enfin, la collecte des verres à l’extérieur des bars, via le Net, pour limiter la présence de bouteilles. Udine s’enferme après le comité provincial pour l’ordre et la sécurité convoqué par le préfet Domenico Lione après les deux derniers épisodes : la bagarre qui a abouti à l’attaque de l’entrepreneur d’origine japonaise Shimpei Tominaga – hospitalisé dans des conditions désespérées à l’hôpital et l’attaque à l’arme blanche d’un 39 ans, via Roma, également accueilli dans des conditions graves à Santa Maria della Misericordia.

LE PAQUET DE MESURES

«Un resserrement nécessaire après les derniers épisodes de violence», a déclaré le maire Alberto Felice De Toni. «Notre espoir était que l’augmentation des contrôles et de la surveillance de la ville mis en œuvre par la police de quartier, les patrouilles conjointes, les agents de sécurité, seraient des mesures suffisantes. Malheureusement, ce n’est pas suffisant.” Du côté de la Préfecture, ajoute Lyon, “il a été décidé de placer une patrouille militaire dans le centre en complément du renforcement des patrouilles dites mixtes à pied”. En ce qui concerne la sécurité participative, la présence de forces de l’ordre à la retraite, qui correspondent déjà à une norme prévue et qui n’effectueront pas d’activités de contrôle mais contacteront les citoyens, est confirmée, notamment en termes d’informations sur les attaques et les escroqueries.

COMMERÇANTS CONTRE

L’interdiction de vente de boissons alcoolisées et de spiritueux à emporter sera fixée de 21h à 6h du matin. L’interdiction sera avancée à 18 heures dans les rues appartenant au quartier dit Magnolie. Par ailleurs, il a été décidé d’interdire la consommation de boissons alcoolisées à partir de 1 heure du matin sur tout le territoire communal. “Pour comprendre la raison de tant de violence, nous devrions parler à un sociologue, malheureusement je pense que l’alcool joue un rôle et c’est précisément pour cette raison qu’il y aura une ordonnance de 60 jours pour en limiter la consommation, a expliqué le maire De Toni – Nous aurons alors être rigoureux dans les contrôles car, comme décidé avec le commissaire de police, si un commerçant continue à les vendre, nous pourrions même finir par fermer l’établissement”. L’éclat des directeurs d’entreprises publiques n’a pas tardé à arriver: «Ils sont des sentinelles dans la zone, c’est une erreur de les pénaliser, en les empêchant d’exercer leurs activités», a déclaré Confcommercio Udine, avec le président du district Giuseppe Pavan. «La ville a subi un autre épisode dramatique de violence gratuite, ont observé Pavan et le directeur de Fipe, Giovanni Pigani. Nous saluons le renforcement de la présence policière mais nous rejetons l’interdiction de la vente d’alcool.”

LES ENQUÊTES

La juge d’instruction Carlotta Silva s’exprimera aujourd’hui sur la validation des arrestations des cinq personnes identifiées et interpellées par la police après les événements de samedi soir : il s’agit de jeunes âgés de 19 à 30 ans, dont trois résident à la province de Trévise entre Mareno di Piave et Conegliano. Parmi ceux-ci, Samuele Battistella, qui aurait donné le coup de poing et qui a fourni hier sa version des événements au juge en expliquant la dynamique des faits, assisté de l’avocat Giovanni Stellato. Des mesures non privatives de liberté et une interdiction de séjour à Fvg ont été demandées pour les deux autres Ukrainiens impliqués dans le conflit. Une enquête a été ouverte au parquet sur cet épisode, qui fait actuellement état de rixes aggravées et de blessures très graves, qui pourraient se transformer en homicide involontaire en cas de décès de l’homme de 56 ans. Un autre dossier a également été ouvert sur la rixe de samedi soir à Borgo Stazione, où un homme de 39 ans d’origine dominicaine a été poignardé.

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Le Gazzettino

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