la moitié était déjà prévue et sera “soustraite” – QuiFinanza

Il n’y a pas de temps à perdre concernant les Campi Flegrei. Le décret bis sur l’urgence en Campanie est arrivé, le gouvernement ayant trouvé le ressources nécessaires. Cependant, une explosion éclata controverse envers les municipalités et la région, avec les propos du ministre de la Protection civile Nello Musumeci qui ont suscité de vives réactions. Ce sera lui qui indiquera le nouveau le commissaire extraordinairequi restera en fonction jusqu’au 31 décembre 2027.

Les fonds pour les Campi Flegrei

Le décret bis sur l’état d’urgence dans les Campi Flegrei prévoit un investissement de 442 millions d’eurosdistribué jusqu’en 2027. Il existe en réalité deux couvertures, a précisé le ministre Fitto : « 200 millions du côté de part attribuée à la Région Campaniesur la base de la demande formulée par la Région elle-même, à laquelle s’ajoutent 200 millions de financements de Fonds de développement et de cohésion».

D’autres sont également prévus 20 millions pour ce qui est l’un des problèmes les plus immédiats, leurgence logement. Nous parlons des dommages causés aux bâtiments privés par l’essaim sismique mais, il convient de le souligner, nous indiquons comment ces cotisations ne peuvent aller au-delà de 2025. Des cotisations qui ne sont par ailleurs pas dues dans le cas où « le besoin de logement a été temporairement satisfait à titre gratuit par une administration publique », souligne le décret.

En ce qui concerne le calendrier, la nécessité d’accélérer la mise en œuvre des investissements nécessaires dans la région de Campanie est évidente. La somme totale de a donc été affectée à la Région 388 557 000 euros, avec une résolution du Cipess qui doit être adoptée dans un délai maximum d’un mois. Une somme divisée en deux tranches :

  • 139 250 euros pour 2024 ;
  • 417 750 euros pour 2025.

Commissaire spécial

Comme mentionné, ce sera la tâche du ministre Musumeci nommer un commissaire extraordinaire. Un acte à la suite duquel le règlement interviendra dans un délai de deux semaines, après la prise d’un arrêté du Premier ministre. En fonction jusqu’au 31 décembre 2027aura un rôle dans la coordination des différentes interventions et de l’utilisation des ressources, également en référence à projets liés au Pnrr.

L’air politique est très tendu et les propos du ministre ne rassurent certainement pas : « La gestion de l’urgence ne peut être confiée à la Région ou aux Communes. Nous vérifions l’activité qui a été réalisée et ce qui reste à réaliser.”

Concernant les noms possibles, on craignait ces derniers jours celui du préfet de Naples, Michele di Bari. Un choix probablement écarté, en raison d’un. personnage managérial réel.

La controverse

Les fonds alloués par le gouvernement de Giorgia Meloni ne seraient pas suffisants, puisque le chiffre indiqué, égal à 442 millions d’euros, ne correspond pas à la réalité. Mieux dit, il comprend 200 millions attribués à la part FSCdéjà dû à la Campanie, comme l’a souligné le maire de Pozzuoli, Luigi Manzoni: «Ils s’installent ressources en les soustrayant des fonds déjà alloués à nos territoires. De plus, les 20 millions destinés à la construction privée sont insuffisants. Le territoire de Pouzzoles a longtemps été soumis à la contrainte de non-constructibilité totale, s’opposant à toute éventuelle nouvelle construction de logements (en réponse à l’interdiction soulignée par le ministre), comme la proposition de construire de nouveaux appartements à usage résidentiel dans le ancienne zone de Sofer ».

Mais encore une fois, Musumeci a pensé à exaspérer le ton, voulant stigmatiser quels sont les des responsabilités claires attribuables aux classes dirigeantes locales. Il a souligné que l’exécutif n’était pas tenu d’agir avec une telle envergure économique.

«Le gouvernement donne plus que ce qu’il a le devoir de donner sur les Champs Phlégréens. En effet, des responsabilités très graves apparaissent, lointaines ou non, omisives et oubliables, qui impliquent tous les anti, à commencer par la Région et les Communes impliquées, à savoir Naples, Pozzuoli et Bacoli”.

A la base il y aurait l’autorisation donnée à un le développement urbain est considéré comme chaotique et désordonnésans prendre en compte les dangers qui menacent la région.

Nous avons ensuite parlé, évidemment, du cotisation de 400 à 900 euros par personne et par mois, éligibles à l’intégration, pour les personnes contraintes de quitter leur domicile. Mais même dans ce cas, une réprimande sévère a été émise, avec un ton de défi ouvert : “Le gouvernement n’a pas l’intention de gagner un seul centime pour les habitations illégales ou les résidences secondaires”.

Campi Flegrei, tests et exercices d’évacuation

Planifié pour deuxième exercice de protection civile, prévu en mai et reporté en raison de l’essaim sismique. Le sentiment général n’est cependant pas le meilleur. En fait, on craint une faible participation de la population. Le tout combiné à une suspicion généralisée concernant ces pratiques, avec des tests et des alarmes généralisés qui pourraient « effrayer les touristes ».

La journée était importante demain 26 juin, qui consiste à vérifier la fonctionnalité de certaines zones d’attente et leur organisation dans la planification municipale. Une fois l’alarme déclenchée, les citoyens seront invités à se rendre dans les zones d’attente les plus proches de leur domicile : deux à Pouzzoles et le même numéro à Bacoli, et une à Naples. Le système d’enregistrement des besoins immédiats des sujets fragiles a également été testé.

Les activités prévues comprennent également la mise en place d’un camp de base pour les colonnes mobiles des pompiers, divers points d’information pour la population et l’activation des volontaires, afin de garantir le soutien aux centres de coordination, l’information, les télécommunications et l’assistance à la population. Environ 80 000 personnes vivent dans la zone la plus à risque, mais compte tenu de ce chiffre, seules quelques dizaines pourraient participer au test.

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