Une partie des déchets les plus dangereux sera éliminée dans la décharge Columbra à Crotone

Une partie des déchets les plus dangereux sera éliminée dans la décharge Columbra à Crotone
Une partie des déchets les plus dangereux sera éliminée dans la décharge Columbra à Crotone

CROTONE Une partie des déchets, les plus dangereux, seront éliminés dans la décharge de Columbra à Crotone et les déchets les moins dangereux seront transférés vers des sites en dehors de la Calabre. Cette conclusion semble avoir été atteinte la Conférence des services décisionnels, qui s’est tenue ce matin à Rome au Ministère de l’Environnement. D’après ce qu’on a pu savoir, ce serait l’idée qui a émergé lors de la réunion malgré le non exprimé par la Région de Calabre, la Commune et la Province de Crotone, qui ont confirmé le but de transférer les poisons présents à Crotone hors de Calabrecomme l’a établi le 24 octobre 2019 la Conférence des services décisionnels, qui a donné son feu vert au projet Pob phase 2. Le ministère de l’Environnement, à l’issue de la réunion, a déclaré que cela prendrait quelques jours. évaluer les positions et trancher en faveur de l’hypothèse qui prévaut aujourd’hui sur les autres. La figure de référence devient le nouveau directeur de l’Économie générale et de la bonification des terres, Luca Proietti.

L’intervention de Proietti

L’ingénieur Proietti prendra les décisions. Dans son discours d’aujourd’hui, il a déjà exprimé sa volonté de soutenir le projet proposé par Eni. L’objet de la réunion était l’approbation de l’hypothèse d’annulation de la phase 2 de Pob par rapport aux interventions immédiatement exécutables. Il a été constaté, sur la base d’un rapport réalisé par Eni, à la demande du Ministère de l’Environnement, qu’il n’était pas possible de planifier des interventions immédiates sur les déchets Tenorm avec matrice d’amiante. La discussion s’est donc limitée aux déchets ne contenant pas d’amiante, qu’ils soient dangereux ou non. On a également évoqué en passant la correspondance que le Ministère de l’Environnement a eue ces dernières semaines avec l’entreprise Guglielmo Maio, aujourd’hui Dupont Energy, qui proposait la construction d’une nouvelle méga décharge dans la zone de Giammiglione. Nous n’avons pas abordé le fond de l’affaire, car La conférence d’aujourd’hui n’a pas inclus de discussions sur les nouveaux sites d’enfouissement proposés. Le cas Maio est archivé, mais personne n’exclut qu’il puisse revenir sur une table dans le futur. Les représentants d’Eni ont illustré les activités qu’ils envisagent de mettre en œuvre. Ils ont expliqué que l’extrait, proposé aujourd’hui, concerne 70% des poisons à éliminer, soit environ 760 000 tonnes. Les zones sur lesquelles il est prévu d’effectuer l’intervention sont l’ancienne Pertusola, la zone de Gessi, le bassin de ferrite, le bassin du commissaire et la zone désormais identifiée comme l’ancienne zone de phytoremédiation. Ce sont les sites et Eni propose de livrer 362 000 tonnes de déchets dangereux à Columbra et 397 000 tonnes de déchets non considérés comme dangereux en dehors du territoire calabrais. C’est le plan d’Eni qui a également proposé un calendrier qui prévoit d’achever les activités d’ici 2032.

Le projet Eni

Dans le projet Eni, la construction d’une route d’urgence est proposée, considérant que celles qui seront déplacées et transportées sont dangereuses pour la santé des citoyens. C’est précisément pour cette raison que l’on émet l’hypothèse de la fermeture de la route du consortium, parallèle à la décharge face à la mer. Aujourd’hui donc, il n’y a pas eu de discussion sur la façon d’éliminer les déchets Tenorm avec une matrice d’amiante. La décision concernant ces poisons très dangereux sera probablement prise lors d’une nouvelle conférence sur les services. où Eni reviendra peut-être pour proposer la décharge spécialement construite au sein de l’ancien site de Pertusola. Il n’y a pas de quoi se réjouir.
A la fin de la séance, le maire Vincenzo Voce a publié une note accusant Eni d’avoir fait “encore une tentative” de “ne pas respecter les dispositions du POB 2, à travers un projet supprimé, laissant les déchets dangereux des décharges marines sur le territoire et non en dehors de la région comme cela a déjà été établi par arrêté ministériel ». «Cette proposition aussi – écrit Voce – a été renvoyée à l’expéditeur par la Commune. Et avec nous, de la Province et de la Région, entités avec lesquelles nous sommes pleinement d’accord sur le problème.” Poursuivant, Voce écrit : « Eni mène des recherches partout dans le monde pour trouver de nouvelles ressources en gaz ou en méthane. Est-il possible que je ne trouve pas un emplacement approprié pour les déchets de la zone industrielle ?”. Voce demande qu’on recherche des décharges à l’étranger et demande qu’on ne pense pas « à une réhabilitation partielle ». Le nettoyage doit être complet !”, a-t-il conclu.
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