Le vote à Avellino et les affinités avec Bénévent : des espaces internes de plus en plus civiques. Ou du soleil ? -NTR24.TV

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Avellino et Bénévent: plus d’affinités que de divergences. Pour la première fois, une femme occupera le siège le plus prestigieux de la capitale de l’Irpinia. Et c’est déjà un fait. Il fallait le souligner. Mais Laura Nargui c’est aussi un homme politique apatride. Il n’a pas de cartes dans sa poche. Pas depuis qu’il a rompu avec le Parti démocrate.

Et donc : ni centre droit, ni centre gauche. Comme cela arrive à Bénévent avec Mastella, Avellino reste en dehors des projets qui régissent le Palais Chigi et le Palais Santa Lucia. Les deux provinces qui souffrent le plus de la puissance excessive des principales réalités campaniennes s’isolent également d’un point de vue politique. Dit comme ça, ça n’a pas l’air bien, pourquoi le nier. Mais ce n’est pas forcément une mauvaise chose : l’autonomie d’action est une carte à peser sur la table des prochaines élections régionales. Et pas seulement à ce sujet.

Mais en attendant, nous devons résister et travailler avec la diplomatie. Mastella en a fait un art, tirant souvent la ficelle mais sans jamais la casser. Ni avec Rome ni avec Naples. Nargi ferait bien de suivre son exemple, mais aussi de s’éloigner de quelques centimètres de l’ombre de son prédécesseur : administrer est une autre chose que gagner.

Une autre analogie est donnée par le sort malheureux de Pd. Troisième élection administrative perdue pour les démocrates à Avellino. Pire encore que Bénévent où le décompte est bloqué – pour l’instant – à deux. Les cousins ​​samnites avaient au moins la circonstance atténuante d’un centre-gauche divisé, dépourvu des cinq étoiles. Au lieu de cela, tout le monde était autour d’Antonio Gengaro, il y avait un large champ. Ce n’était pas suffisant. Une énième défaite sera suivie d’un énième redémarrage. Mais s’ils continuent à jouer de la même manière, il est difficile d’imaginer que le résultat puisse changer. Quelqu’un prévient le Nazaréen : «Hé Elly, nous avons un problème.
Le « De Profundis » joue également de l’autre côté du fleuve. Tout comme au Parlement de Bénévent, les symboles de Forza Italia, Lega et Fratelli d’Italia. Un échec qui a plusieurs pères et une seule solution : réinitialiser, là aussi. Car c’est le message que les électeurs des deux villes de l’intérieur envoient aux secrétariats depuis plus de dix ans. Ils veulent le changement, pas le passé.

Et si personne n’écoute, rien ne changera. Et nous resterons civiques. Ou seul?

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