Pescara, les baigneurs dans l’eau même avec du mucilage

PESCARA Le mucilage est là mais cela n’a pas gêné les nageurs qui ont envahi les plages des Abruzzes hier. Il ne s’est pas refusé une plongée…

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PESCARA Le mucilage est là mais cela n’a pas gêné les nageurs qui ont envahi les plages des Abruzzes hier. Pratiquement personne ne s’est vu refuser une plongée. À Giulianova, le secrétaire du consortium balnéaire Coba, Gabriele Albani, a tout observé du haut du chalet « Venere ». «La mer n’a jamais été aussi fréquentée – dit-il – personne n’a renoncé à se baigner. La chaleur était très chaude et l’eau trop invitante pour rester immobile sous le parasol.” Après tout, il s’agissait simplement de surmonter quelques étendues de mucilage près du rivage et peu de temps après, la mer était propre. Et ils ont été très nombreux à répondre à cet appel. » C’est ce que fait écho depuis Pescara le secrétaire régional du Sib (syndicat italien des bords de mer), Riccardo Padovano, qui est sur la même ligne : « Traces de mucilage – confirme-t-il – seulement près du rivage, quelques mètres plus tard, tout est propre. Cependant, les stations balnéaires ont permis aux clients de prendre plus facilement quelques douches supplémentaires. Il y avait aussi un peu de psychose, quelqu’un rapportant des sensations de picotements ou la présence de quelques taches sur sa peau.” Mais Padovano va bien plus loin, du moins avec les souvenirs. Nous pensons à 1990, la première année où les Abruzzes ont été confrontées à ce phénomène. «Ensuite – se souvient-il – le mucilage s’étendait depuis le rivage jusqu’à quelques kilomètres, c’était une table brune. Je me souviens, par exemple, qu’à Giulianova les bateaux de pêche allaient à la mer en provoquant un mélange de l’eau avec leurs hélices pour éviter qu’il y ait des problèmes aussi pour les touristes ; nous étions dans la première semaine d’août et quelque chose a été réalisé. Nous sommes reliés au fleuve Pô, où sont déversés les déchets des grandes exploitations agricoles et, malgré le travail des épurateurs, ces substances arrivent de notre région en été et pourrissent à cause du soleil. Mais ce sont des algues et, nous le répétons, elles ne sont pas dangereuses. »

Pour que chacun puisse se sentir calme, la branche des Abruzzes est également intervenue hier et, dans un communiqué, a prévenu qu'”il n’y a aucun problème pour les nageurs et que l’on peut plonger dans la mer en toute sécurité”. En effet, le mucilage est un phénomène naturel et périodique lié aux pics de chaleur intense et à la faible salinité de l’eau. Phénomène non provoqué par la pollution.

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