Mahmood, le nouveau single Ra ta ta est sorti : paroles et signification

Mahmood, le nouveau single Ra ta ta est sorti : paroles et signification
Mahmood, le nouveau single Ra ta ta est sorti : paroles et signification

Il y a tellement de vie dans les chansons de Mahmoud. Son. Et celui de ceux qui, comme lui, vivaient en banlieue. Où vous grandissez vite, car le code de la route vous poursuit. Et ils ne sont pas très gentils. C’est de ça qu’il parle Ra ta ta, son nouveau single. Lequel s’intitule comme le bruit de la mitrailleuse, et qui parle d’un morceau de son enfance.

Ra ta tale texte

(Dehors fa-fa-fa-fa-fa-fa-fa)
(Seulement « ra-ta-ta-ta-ta-ta-ta »)
(Cagoule, club, club)
(Ta-ra-ta-ta-ta-ta-ta)

Une marguerite suffisait pour jouer à ne m’aime pas
Mais on peut grandir vite si on vit dans la rue
Je n’ai jamais vu les tropiques, juste des condominiums torse nu avec des katanas
Sur des meubles anciens, des saphirs sur un collier rêvent

Trois ans dans la bande sur une terrasse
Avec des gens comme moi, un visage de mulâtre, une bouche de mitrailleuse (Ciuk, ciuk)

Dehors fa-fa-fa-fa-fa-fa-fa
Juste “ra-ta-ta-ta-ta-ta-ta”
Je vois des enfants avec une cagoule
Sans maman-mais-mais-mais-mais
Tu les verras danser
Pointant les lames vers le ciel
À l’intérieur de la ville-tà-tà-tà-tà-tà-tà-tà
De Dieu, de Dieu, oh-oh

Quelle vida loca avec le gibier de l’oie, mais avec la dame
Jus de pêche en dehors de la messe parmi des nuages ​​de marijuana
Bébé, si tu m’appelles (Dans la ville)
C’est comme si des hélicoptères volaient (Dans la ville)
Parfois la famille te semble lointaine
Sur un pont, tout le monde s’alignait en file indienne

Trois ans dans la bande sur une terrasse
Avec des gens comme moi, un visage de mulâtre, une bouche de mitrailleuse (Ciuk, ciuk)

Dehors fa-fa-fa-fa-fa-fa-fa
Juste “ra-ta-ta-ta-ta-ta-ta”
Je vois des enfants avec une cagoule
Sans maman-mais-mais-mais-mais
Tu les verras danser
Pointant les lames vers le ciel
À l’intérieur de la ville-tà-tà-tà-tà-tà-tà-tà
De Dieu, de Dieu, oh-oh

Non, jamais, non, jamais je ne te perdrais
Non, jamais, non, jamais (Jamais)
Nous n’étudions pas le violon ici
On ne baise pas un ami
Jure-moi que tu ne le feras jamais, tu ne le feras jamais
Tu me trahiras, non, jamais, non, jamais
Même pour une Bentley, tout le ding-din
Non, jamais, non, jamais

Dehors fa-fa-fa-fa-fa-fa-fa
Juste “ra-ta-ta-ta-ta-ta-ta”
Je vois des enfants avec une cagoule
Sans maman-mais-mais-mais-mais
Tu les verras danser
Pointant les lames vers le ciel
À l’intérieur de la ville-tà-tà-tà-tà-tà-tà-tà
De Dieu, de Dieu, oh-oh

Fa-fa-fa-fa-fa-fa-fa
Juste “ra-ta-ta-ta-ta-ta-ta” (Ra-ta-ta-ta)
À l’intérieur de la ville-tà-tà-tà-tà-tà-tà-tà
De Dieu, de Dieu, oh-oh

Le sens

faubourgs c’est un monde en soi. Tous ceux qui y vivent le savent. Un monde avec ses règles, avec ses dirigeants, avec le non-dit et l’indicible. Les maisons ont des meubles anciens, des pâquerettes poussent sur les pelouses. Mais les rêves sont là, nombreux et forts, et ils vous maintiennent en vie. Même quand ton destin semble là gang, comme cela lui est arrivé, avec ces traits qui – aux yeux des gens – tracent un chemin. On n’étudie pas le violon en banlieue. Mais on ne trahit pas un ami. Pas même pour l’argent, pas même pour ces voitures de luxe qu’on ne voit jamais en dehors de la ville. Ra ta ta c’est une histoire de inconfortDe pauvretéDe violence. Celui que Mahmood a vécu enfant puis adolescent. Parce qu’on ne se débarrasse pas de certaines choses, même lorsqu’on arrive au sommet, qu’on remplit des bâtiments, qu’on chante dans toute l’Europe. Vous êtes Mahmood, mais vous êtes aussi Alessandro. Surtout Alessandro. Et vous n’arrêterez jamais de le dire.

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