“Violée parce qu’elle était juive.” Des photos sur des téléphones portables clouent trois pairs (dont l’ex-petit-ami)

Une enquête ouverte en France sur un possible viol antisémite dont une jeune fille de 12 ans aurait été victime. Les agresseurs présumés sont 3 adolescents parmi les 12…

Déjà abonné ? Connectez-vous ici!

  • tous les articles du site, également depuis l’application
  • Informations et newsletters exclusif
  • LE podcasts de nos signatures

– ou –

Souscrivez à l’abonnement en payant avec Google

S’abonner

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE SPÉCIALE

MENSUEL

6,99 €

1 € PAR MOIS
Pour 6 mois

CHOISISSEZ MAINTENANT

b4e5a52b62.jpg

Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an

Abonnez-vous avec Google

Une enquête ouverte en France à propos d’un possible viol de personnage antisémite dont une jeune fille de 12 ans aurait été victime. Les agresseurs présumés sont 3 adolescents âgés de 12 à 14 ans. Le Parisien le rapporte. Selon le journal, la jeune fille, accompagnée de ses parents, a signalé au commissariat de Courbevoie, en banlieue parisienne, qu’elle avait été violée.

L’histoire

Elle a raconté qu’elle se trouvait avec une amie lorsque trois de ses pairs, dont son ex-petit ami, également âgé de 12 ans, l’ont emmenée dans un hangar abandonné, puis l’ont battue et insultée à cause de sa religion. La victime a ensuite été violée, toujours menacée « de mort avec des phrases antisémites », apprend-on des sources de l’enquête. Les investigations menées par le parquet ont permis d’identifier les auteurs présumés des violences, âgés de 12, 13 et 14 ans. Les trois ont été interpellés et placés en garde à vue, le plus jeune confié à un centre pour mineurs. Les accusations portées contre eux sont graves, depuis les violences sexuelles aggravées jusqu’aux menaces de mort, le tout aggravé par le fait qu’elles ont été commises en référence à l’appartenance de la victime à une religion.

Admissions

Les 3 mineurs auraient partiellement reconnu leur culpabilité, affirmant avoir agi “par vengeance”, affirme Le Parisien, expliquant que l’ex-petit ami de la victime aurait été “très en colère parce que la jeune fille lui aurait caché qu’elle était de la religion juive”. Des phrases et des images antisémites ont été trouvées dans le téléphone portable du garçon, notamment celles d’un drapeau israélien brûlé. Un autre des auteurs présumés a avoué à la police qu’il avait frappé la victime parce qu’elle avait tenu des propos offensants contre la Palestine. La victime a été conduite dans un centre médico-légal où l’examen gynécologique a confirmé les violences subies.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Le Messager

X

PREV Premier ministre et passages à tabac à la Chambre, opposition dans les rues. Schlein : « Soyons prêts. » Conte : « Réponse à la violence ». Le refrain “unité, unité”
NEXT La Nintendo Switch Lite Hyrule Edition dépassera-t-elle de manière sensationnelle la PS2 aux États-Unis ?