un nouvel échographe pour le Centre de Prévention Oncologique inauguré à “Morgagni-Pierantoni”

un nouvel échographe pour le Centre de Prévention Oncologique inauguré à “Morgagni-Pierantoni”
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Tolérance zéro face au cancer du sein. La tumeur qui touche le plus les femmes de tous âges, grâce à une sensibilité toujours croissante de la population, des programmes de dépistage efficaces et des thérapies de plus en plus ciblées, a atteint en Romagne cinq ans après le diagnostic des taux de survie d’environ 90 % : un chiffre certainement considérable. chiffre, mais qui nécessite un effort supplémentaire important pour qu’il y ait toujours un nouvel espoir pour les 10 % restants. L’engagement de l’Institut d’Oncologie de Romagne se poursuit donc aux côtés des structures hospitalières locales et de ses professionnels impliqués dans cette bataille sanitaire fondamentale : lundi a été inauguré un nouvel échographe de dernière génération, une machine d’une valeur d’environ 30 000 euros, au Centre de Prévention d’Oncologie (Cpo) de Forlì, présent au sein de l’Hôpital « Morgagni-Pierantoni » et dirigé par le Dr Fabio Falcini. Une cérémonie qui boucle effectivement la boucle d’un début 2024 dédié aux investissements en faveur des femmes de Romagne : le même appareil a en effet été offert fin mars à la garnison similaire de Ravenne, fin février à celle de Rimini, Cattolica et Novafeltria et début janvier à celle de Lugo.

Le principal avantage de ces machines de nouvelle génération est certainement celui d’identifier de très petites lésions à un stade précoce, ce qui augmente considérablement les chances de guérison de celles qui découvrent qu’elles ont un cancer du sein. Comme l’explique le Dr Falcini lui-même, « l’échographie est un outil fondamental pour le diagnostic rapide du cancer du sein : depuis dix ans, elle n’est utilisée qu’après que le spécialiste a vu une mammographie et n’est plus utilisée en premier lieu, mais elle est encore une instrumentation indispensable. Cette machine particulière qui nous est offerte aujourd’hui par l’Institut d’Oncologie de Romagne est de dernière génération : elle nous permet de mieux apprécier les images et les petites lésions, tant superficielles que profondes, et grâce à ses spécifications techniques, elle nous permet d’évaluer avec précision le degré de vascularisation. Sa capacité de visualisation est telle qu’elle garantit également une bonne visualisation au cas où des tests cytologiques ou des microbiopsies seraient nécessaires. De plus, la poignée de la sonde a une forme qui facilite son utilisation par l’opérateur et réduit les effets du canal carpien, une caractéristique qui est tout sauf secondaire : le trafic quotidien dans le département est notable, il n’est pas facile de garantir un rendement adéquat si ceux qui travaillent pour cet important objectif diagnostique arrivent fatigués à la longue. C’est une excellente nouvelle : grâce au Plan National de Relance et de Résilience, nous avons pu renouveler nos appareils de mammographie, mais pour les raisons que nous avons évoquées auparavant, il était essentiel de suivre une technologie qui se renouvelle désormais tous les ans et demi, même d’un point de vue échographique. Bref, la nôtre s’affirme comme une Unité Opérationnelle chanceuse car les organisations bénévoles nous aiment et nous soutiennent régulièrement : on remarque dès l’entrée dans le département d’ailleurs le travail d’humanisation des milieux, également soutenu par l’IOR elle-même et inauguré début 2022, montrer à quel point nous nous soucions de rendre un lieu habituellement caractérisé par la peur et la souffrance aussi accueillant et confortable que possible, pour accompagner les femmes dans leur chemin de prévention et de traitement.

En tant que responsable du Registre du Cancer de la Romagne, le Dr Falcini a rappelé que « en Romagne, le taux d’adhésion au dépistage est de 78 % : depuis son introduction, ce test a réduit de 56 % la mortalité chez ceux qui le subissent. 327 femmes dans la tranche d’âge entre 45 et 49 ans sont rappelées, une sur 174 entre 50 et 69 ans et une sur 94 entre 70 et 74 ans. Cela ne signifie pas que toutes les femmes rappelées présentent une tumeur, mais simplement que les problèmes qui doivent être étudiés soient identifiés. Grâce à ces programmes, l’incidence des pathologies à un stade avancé a été réduite de 26% : et nous savons bien combien un diagnostic précoce fait la différence non seulement en termes de survie, mais aussi de l’impact des thérapies sur la qualité de vie du patient. Les données très encourageantes sont celles relatives à la survie, qui varie de 90% à 93% aussi bien pour Rimini que pour Forlì-Cesena et pour Ravenne : cela signifie que nos trois Unités Mammaires travaillent de manière homogène et avec des normes très élevées. Actuellement, en Romagne, un peu plus de 9 000 femmes suivent un traitement pour un cancer du sein depuis dix ans.

Le directeur général de l’Ior, Fabrizio Miserocchi, a confirmé combien « une grande partie de la lutte contre le cancer dans un avenir proche se jouera sur la table de la prévention et du diagnostic précoce : travailler sur de nouvelles thérapies de plus en plus personnalisées est certes important, mais il s’agit d’intercepter maladies de plus en plus opportunes, lorsque les perspectives de survie sont plus grandes, que le jeu décisif est joué. L’Institut d’Oncologie de Romagne a montré qu’il croit fermement en cette question, en faisant don de quatre appareils à ultrasons à autant de Centres de Prévention Oncologique de notre région. : pour nous, c’est un plaisir car c’est la meilleure démonstration du caractère concret d’une devise, “proche de ceux qui souffrent et avec ceux qui soignent”, qui raconte un engagement aux côtés des professionnels des soins, pour faciliter un travail qui est tout D’un autre côté, les citoyens, en choisissant de faire un don à l’IOR, s’attendent à juste titre à ce que cet argent serve à quelque chose qui fasse une réelle différence : et quoi de plus concret qu’un dispositif qui améliore-t-il les performances d’un service déjà reconnu comme excellent, comme celui du Dr Falcini ?”.

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