Listes d’attente dans les soins de santé, les particuliers en action pour réduire le nombre de personnes hospitalisées

Listes d’attente dans les soins de santé, les particuliers en action pour réduire le nombre de personnes hospitalisées
Listes d’attente dans les soins de santé, les particuliers en action pour réduire le nombre de personnes hospitalisées

Le gouvernement s’apprête à débloquer listes d’attente dans le hôpitaux avec le Conseil des ministres conclu mardi 4 juin. Le cœur de la réforme qui va prendre forme est un Centrale de réservation nationale uniquedans laquelle le installations privées affiliées. Deux mesures sont sur la table : un décret-loi léger et rapidement applicable et un projet de loi plus conséquent.

La réforme du système de santé selon le gouvernement Meloni

A l’ordre du jour du Conseil des ministres figure un décret législatif contenant « des mesures urgentes pour le réduction du temps du listes d’attente des services de santé” et le projet de loi sur les “mesures de garantie des services de santé”. Cette deuxième mesure inclura les aspects plus opérationnels qui nécessitent une couverture financière. Dans les intentions de l’Exécutif, certaines mesures devraient être immédiatement opérationnelles.

Plateforme nationale des listes d’attente

Un sera créé à Agenas (Agence nationale des services régionaux de santé). Plateforme nationale des listes d’attente. La plateforme recevra des données des plateformes régionales de listes d’attente, garantissant ainsi l’interopérabilité. Les lignes directrices seront publiées ultérieurement par arrêté ministériel. Le nouveau système vous permettra d’avoir un aperçu en temps réel à l’échelle nationaleterritoire par territoire, de l’état des listes d’attente dans le système public de santé.

Coupe régionale unique

La création d’un est prévue Coupe régionale unique (ou infrarégional) dans lequel seront canalisés tous les services disponibles des secteurs public et privé. À l’heure actuelle, le secteur privé n’est pas présent dans les coupes régionales ou n’y est que très peu.

Faire pression sur les particuliers accrédités

La déchéance des contrats entre les particuliers accrédités et le Service National de Santé a été établie dans le cas où le secteur privé n’inclut pas les services dans les Coupes publiques. L’inclusion dans les Coupes publiques devient une condition fondamentale pour la délivrance de l’accréditation.

Obligation d’entrer dans la classe prioritaire

Lors de la première visite, le médecin aura l’obligation d’attribuer la classe prioritaire au patient et d’indiquer le diagnostic suspecté dans la demande de visite ou d’analyses. La classe prioritaire aura des conséquences directes sur les délais de liste d’attente.

Tarifs horaires des médecins

Ils augmentent de 20% le taux horaires des médecins, en particulier en ce qui concerne les services qui présentent de plus grands besoins en services supplémentaires. Attendu allégement fiscal avec une imposition séparée à un taux fixe de 15%.

Le Régions pourra allouer des ressources supplémentaires pour négociation collective intégrative des médecins, en tenant particulièrement compte des domaines où il y a une pénurie de personnel. Alors on est attendu indemnité de désagrément pour les réalités professionnelles les plus difficiles.

Réduction des détenteurs de jetons

Le ministre Orazio Schillaci a toujours eu dans sa ligne de mire la figure des médecins symboliques, des professionnels indépendants qui travaillent dans des établissements publics moyennant le paiement d’un jeton de présence. Ces chiffres sont utilisés pour combler les déficits de personnel, mais augmentent les coûts du Service National de Santé. Pour freiner le phénomène des opérateurs de jetons, les hôpitaux publics pourront également embaucher du personnel avec contrats de travail indépendant et pourra profiter de spécialistes ambulatoires internes pour la récupération des listes d’attente. Là taux horaire pour la performance du spécialiste, il est porté à 100 euros.

Objectifs annuels

Les Régions assigneront aux directeurs généraux des entreprises de santé des objectifs annuels sur la réduction des listes d’attente. Les directeurs de la santé qui n’atteindront pas l’objectif seront sanctionnés d’une suspension de la liste nationale pendant 12 mois.

Jeunes médecins

Les jeunes médecins recevront des missions pouvant aller jusqu’à 10 heures par semaine. Et même les spécialistes seront appelés à réduire les listes d’attente.

Examens le week-end et en pharmacie

Il sera également possible de réaliser des tests à l’hôpital les samedis et dimanches. Et il sera possible d’effectuer les services les plus simples même en pharmacie, comme des prélèvements ou des analyses de sang.

Une Inspection Générale de Contrôle mise en place

A est établi Inspection Générale de Contrôle sur les soins de santé. L’Inspection relève directement du ministère de la Santé. L’objectif est d’accroître les activités de surveillance et de contrôle du Siveas (Système National de Vérification et de Contrôle des Soins de Santé) créé en 2005. L’Inspection devra procéder à des contrôles auprès des établissements de santé et des hôpitaux sur l’exactitude du fonctionnement des listes d’attente. et sur les plans opérationnels de récupération des listes.

La réforme de l’examen médical

Pour compléter le tableau, il y a la réforme déjà annoncée de la première année de médecine, avec la suppression du test d’entrée et la poursuite de la sélection. La réforme de Test de médecine arrivera en 2025.

Le carrefour des ressources régionales

Les Régions s’inquiètent, comme le rapporte Ciel TG24c’est le fardeau économique résultant de l’augmentation des listes d’attente, alors que la santé représente traditionnellement la part la plus importante des budgets régionaux.

“Une réunion polie”, comme il a défini la réunion de lundi Raffaele Doniniconseiller à la santé de l’Émilie-Romagne et coordinateur de la commission santé de la Conférence des Régions “mais avec quelques motifs d’embarras pour les Régions”.

La raison : “Nous ne savons toujours pas quels sont les textes d’un éventuel décret ou projet de loi ou d’une quelconque couverture.” Et c’est pourquoi, a ajouté Donini, “nous souhaitons contribuer à la genèse des règles, et ne pas nous contenter de formuler des observations une fois approuvées”. Le gouvernement a annoncé un “thème de privatisation mais nous ne savons pas comment cela se déroulera”, a-t-il ajouté. Parmi les orientations évoquées aux Régions figure également « une Coupe nationale unique ».

Autres mesures du MDP

Au cours de la réunion, le Premier ministre Giorgia Meloni a également donné “des informations sur les flux d’entrée d’étrangers pour des raisons de travail”, a analysé un projet de loi sur “les changements dans la discipline du pouvoir judiciaire honoraire du quota d’épuisement”, a procédé à l’examen final du projet de loi. pour « la simplification réglementaire et l’amélioration de la qualité de la normalisation et les délégations au gouvernement pour la simplification, la réorganisation et la réorganisation dans certaines matières » et a analysé le décret législatif de « mise en œuvre de la directive (UE) 2022/ 431 », qui modifie la directive 2004/ 37/CE relative à la protection des travailleurs contre les risques découlant de l’exposition à des agents cancérigènes ou mutagènes au travail.

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