Qu’est-ce que le droit de s’opposer à une créance prioritaire ? Est-ce utile ou dangereux ?

De quel dossier de santé électronique parle-t-on ces jours-ci ? Beaucoup ont reçu une notification sur leur smartphone de la part de l’application IO. On peut diviser la population italienne en trois catégories : ceux qui n’en ont jamais entendu parler, ceux qui ont une vague idée de ce que c’est et ceux qui aimeraient en savoir plus mais ne parviennent pas à s’orienter dans les sources, qu’elles soient accréditées ou pas. Le thème du moment est la compréhension si et comment s’opposer à l’inclusion des données de santé avant le 19 mai 2020 (on vous en parlait aussi ici). Commençons par les bases.
Le dossier de santé électronique (DSE) est un outil numérique qui collecte l’historique clinique et sanitaire de chaque citoyen, qui est partagé avec les opérateurs du secteur pour une meilleure assistance. Il existe depuis 2012, mais évolue désormais vers une version 2.0 grâce au financement du PNRR. Il est défini par le Garant de la Vie Privée comme «l’ensemble des données et documents numériques de santé et socio-sanitaires» qui ont été générés par des événements cliniques. Contient des exemptions pour les revenus et la pathologie, les contacts, les délégués, les rapports, les rapports des urgences, les lettres de sortie, le profil de santé récapitulatif, les ordonnances des spécialistes, les dossiers médicaux, les vaccinations, les détails de la carte des receveurs d’implants, les lettres d’invitation au dépistage.
L’ESF est alimentée par des entreprises de santé locales, des établissements de santé publics du NHS et des établissements de santé accrédités auprès du NHS. Selon les données collectées par le ministère de la Santé, entre janvier et mars 2024 96 pour cent des médecins généralistes ont consulté les DSE, avec des pics de 100 pour cent dans des régions comme le Piémont et la Lombardie. Au lieu de cela, ils sont en moyenne, 40 pour cent des citoyens ont donné leur consentement à la consultation de leur FSE par les médecins et les opérateurs du Service National de Santé, avec des résultats négatifs dans les Abruzzes, la Campanie et la Calabre (1 pour cent).
Pour clarifier le doutes légitimes et fausses nouvelles qui gravitent autour du dossier de santé électronique et le droit de s’opposer à l’inclusion du précédent, nous avons consulté Christian Bernieri, délégué à la protection des données qui s’est longuement penché sur la question la protection de la vie privée appliquée au thème des données de santé et qui nous aide à répondre aux questions qui suivent.

PREV Une étude a révélé que se coucher à une certaine heure augmente le risque de troubles mentaux : les données
NEXT deux signalés pour la fin d’Antonio Gerace