La phrase glaçante de Di Lorenzo, les nouvelles choquantes sur Maradona, le mystère Mazzocchi et le déjà-vu choquant sur Meret

La phrase glaçante de Di Lorenzo, les nouvelles choquantes sur Maradona, le mystère Mazzocchi et le déjà-vu choquant sur Meret
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Naples s’arrête encore : ils prennent deux buts à Frosinone et les buts de Politano et Osimhen ne suffisent pas. Malissimo Rrahmani et Mario Rui

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Zéro amour et sans amour la vie n’existe pas. Et même pas la possibilité de gagner, dans n’importe quel domaine. Comme un pizza marguerite à qui tu demandes s’il t’aime ou pas, qui te donne toujours la mauvaise réponse, comme ce Naples. Qui ne s’aimait pas et ne s’aimait pas, trahissant ceux, les fans, qui l’aimaient sans aucune condition, sans recevoir le même traitement. Échappant à la règle de l’Amour, qui ne pardonne à personne d’aimer, il se traîne comme un corps sans âme, un cœur sans rêves, un cerveau sans idées. Quelle trahison.

Différence de buts moins un à Maradona. Les données sont choquant, incroyable, plus qu’inquiétant : en 16 matches à Fuorigrotta les buts marqués (22) dépassent ceux encaissés (23). L’Inter, pour citer les leaders du championnat, a +31 à San Siro, Bologne +21 à Dall’Ara. Naples, au cours de la saison jouée avec le scudetto sur la poitrine, dans son propre stade, a encaissé plus de buts qu’il n’en a marqué. Plus je l’écris, plus je n’y crois pas. Comme DiCaprio dans Shutter Island, il risquait sérieusement de perdre la tête. Et je ne suis pas le seul.

J’ai deux choses dans ce monde : des bals et ma parole, et je les ai toujours honorées. La phrase culte de Tony Montana dans Scarface qui, aujourd’hui plus que jamais, danse sans arrêt dans le cerveau en repensant à ce qui a été vu sur le terrain avec Frosinone. Les boules et les promesses ont la même initiale et cette saison les premières ont manqué (au sens d’attributs) et les secondes se sont révélées comme les premières (au sens de mensonges).

Trois absences en défense à Empoli : Olivera et les suspendus Rrahmani et Mario Rui seront portés disparus (Juan Jesus doit également être évalué). Pour cette occasion, nous espérons que l’entraînement (selon les mots de De Laurentiis) de Mazzocchi, qui lors des sept derniers matches n’a pas joué une seule minute, sera dégelé. Pouquoi? Avec Di Lorenzo qui, dans de nombreuses finales de courses, ressemblait à Dorando Pietri à l’arrivée du marathon de Londres, avec un capitaine souvent épuisé et usé aussi par une saison qui l’a épuisé physiquement et mentalement. Calzona a de bonnes intuitions, mais il a reçu de très mauvaises choses de Sarri pour un entraîneur moderne : l’intégrisme.

Quatre et crucifixion à la cantine pour Meret et Mario Rui. Alex passe de héros à bourreau en 20 minutes : il arrête un penalty à la 30e minute, marque un but à la 50e minute, ce qui incite tous les supporters de Naples à déranger toutes les divinités connues sur la planète. Mario est également très mauvais, souffrant de Zortea et risquant un carton rouge pour une faute de réaction, qui arrive ensuite à la fin. L’erreur de Meret n’est pas sans rappeler celle d’Empoli il y a deux ans, celle qui a ouvert le Révolution de l’été 2022. Il semble y avoir beaucoup de points communs avec ce moment : il y a beaucoup de mauvaise herbe à couper.

Cinq à Cajuste, qui n’a encore réussi à répondre à aucune des questions qui se posent toujours lorsqu’on réfléchit à son achat. Parce qu’il? Quelles sont ses fonctionnalités ? Comment cela peut-il être utile ? Une commission d’universitaires travaille au CNR pour au moins tenter de cautionner quelques hypothèses crédibles sur les différents points non résolus. Alors que Naples devait tenter le 3-2, Calzone l’a inséré à la place de Zielinski, ignorant également Traoré. Ciccio, c’est comme aller à la pêche et laisser ses hameçons à la maison.

Six buts d’Osimhen lors des sept derniers matchs. Victor pointe toujours, mais il porte sur ses épaules le remords d’une occasion manquée sensationnelle qui aurait pu mettre le match au congélateur après 20′. Dans l’erreur de Victor, il y a toute la psychose bleue : plus on a le temps d’y réfléchir, plus on laisse le temps s’insinuer en soi le doute. Cette faiblesse des destins, extirpée par Spalletti, est revenue avec force dans l’actualité. Victor est un pur instinct : c’est sa force, mais aussi sa limite.

Sept-huit, comme les 78 minutes que Calzona a attendu les premiers changements (et quels changements !). Avec le climat torride, avec le temps inhabituel, avec le même entraîneur qui dit en conférence: “Il a fallu composer avec la chaleur” et effectue ensuite des remplacements tardifs qui ne correspondent absolument pas au but et aux nécessités du match. C’est un Naples qui a payé tous les vices de ses entraîneurs, des défauts qui n’ont pas pardonné d’abord à Garcia, puis à Mazzarri et Ora Calzona. Comme l’a rappelé l’astronaute Kevin Spacey de « The Usual Suspects » : “Un homme peut convaincre les autres qu’il a changé, mais il ne pourra jamais se convaincre lui-même.”

Huit matchs en Serie A avec Calzona sur le banc et DOUZE buts encaissés. Douze. Beaucoup, trop, pour endormir toute ambition de retour. Comme cette équipe qui était belle et qui est désormais « fragile et petite avec vos peurs ». Luciano, pas Spalletti malheureusement, mais Ligabue a chanté ainsi et même le vestiaire confirme cette inexplicable faiblesse. Telle une météorite géante, qui menaçait autrefois le championnat, elle s’est effondrée au contact de l’atmosphère. Le commentaire le plus inquiétant est celui du capitaine Di Lorenzo : “Il est difficile de réparer un puzzle cassé.” Les énigmes peuvent être résolues, mais il faut de la volonté.

Neuf buts cette saison de Politano, qui s’offre un rappel de beauté après l’émerveillement de Monza. Le mouvement et le pied gauche de Matteo sont magnifiques, car il a joué l’une des meilleures saisons de sa carrière. C’est dommage qu’il prêchait souvent un verbe inconnu des autres, marchant dans un désert aussi aride qu’avilissant pour le corps et l’esprit. Cet arc-en-ciel derrière Turati semblait vraiment être le tournant, avec une tempête à mettre derrière nous et une course finale à vivre à des milliers de kilomètres par heure. Ses coéquipiers n’étaient cependant pas du même avis.

Dix au marché pyrotechnique dans le combo été-hiver Fatality de Mortal Kombat. Dans le recueil des horreurs, les traces éparses de Lindstrom, les légendes urbaines sur Natan et Cajuste puis les promesses du marin de AVQ: “Je me rattraperai avec le marché des transferts de janvier.” Une de ces phrases qui résonnent dans votre cerveau, pendant que vous regardez Traoré, Mazzocchi, Dendoncker cuire au soleil sans être remis en question. Un échec à tous points de vue : stratégique, économique, technique. Il n’y a qu’un seul responsable, Big Beng, pour ce désastre, l’étincelle qui a généré l’effet domino qui a brisé le chef-d’œuvre qu’il avait lui-même créé. Aurelio, au comble de son masochisme, poignardé par un footballeur, Cheddira, lui appartenant. Même Dante n’aurait pas su créer de telles représailles.

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