Eleonora Incardona, entretien avec la marraine du Giro d’Italia

Le rose lui va bien. Et pas un peu. Mais ce n’est pas pour cela qu’Eleonora Incardona a été choisie pour la deuxième année consécutive comme marraine du Giro d’Italia 2024. Au fil des étapes, jour après jour, sa culture de ce sport fait d’effort et de classe a grandi, de souffrance et de satisfaction. : “Je l’aime énormément. Je suis devenu passionné de cyclisme en vivant cet événement de première main. J’ai eu l’occasion de le comprendre en regardant avec des yeux curieux ce qui se passait le long du parcours des caravanes. Et c’était extrêmement intéressant. Le Giro d’Italia La caisse de résonance dépasse les frontières nationales. C’est un événement également connu et apprécié à l’étranger. C’est pourquoi être confirmé pour la deuxième année consécutive a été une grande satisfaction professionnelle.

À qui consacrerez-vous cette deuxième édition ?

“Maman regardait souvent les scènes, republiait mes posts et mes histoires. Avoir la chance de revivre les expériences que j’ai partagées avec elle, même à distance, sera extrêmement excitant. Mon ‘Giro’ sera tout pour elle qui me donne de la volonté. suivez du ciel.

Quels moments sont encore présents dans votre esprit en parlant de l’expérience de l’année dernière ?

“Certainement mes débuts, le jour de la présentation des équipes. Celui qui m’a aidé à apprendre le cérémonial m’a prévenu : ‘Ce sera inoubliable’. Et c’était le cas. Pouvoir le savourer encore cette année est quelque chose de merveilleux.”

Quel a été votre « arrêt cardiaque » ?

“J’en ai vécu beaucoup : il est difficile d’oublier celui de Naples. C’était peut-être le fait que les Napolitains venaient de remporter le scudetto mais en Campanie j’ai trouvé une énergie unique. J’ai remarqué que partout les gens attendent avec impatience le passage du Giro d’Italie mais cette fois-là, à Naples, c’était fou.”

Attendez-vous quelque chose de nouveau cette année ?

“En plus du rôle de marraine, je serai également envoyée sur le terrain pour parler des coulisses de la course par étapes. J’interviewerai ceux qui vivent le Giro dans les coulisses et, peut-être, je participerai aussi au Giro E. (une expérience de vélo électrique qui se déroule les jours sur les routes de la course rose) avec la caméra sur le casque”.

De quel genre de balade s’agira-t-il de votre point de vue ?

“Certainement captivant avec certaines étapes immédiatement capables de donner des indications importantes. Il suffit de penser à la seconde, celle qui mène au Sanctuaire d’Oropa, où en 1999 Marco Pantani a accompli un exploit épique”.

Quelles sont les étapes qui vous intéressent le plus ?

” Certainement le quatorzième, celui qui touche Desenzano del Garda et Castiglione delle Stiviere : j’ai rencontré des personnes spéciales qui vivent dans ces zones. Je dois le mentionner. Et puis le premier, qui partira de Venaria Reale : il passera par la Superga colline qui, pour ceux qu’il aime le monde du football, il apporte avec lui le souvenir de Grande Torino.

En parlant de football, qu’est-ce qui est le plus beau : le trophée du Giro d’Italia ou la Coupe Scudetto remportée par l’Inter ?

“Le championnat, comme le Giro d’Italia, est une course par étapes vers la gloire. Les deux récompenses sont d’égale importance. Cependant, je trouve une énorme différence : celle du cyclisme unit tous nos compatriotes. Celle du football, malheureusement, divise en raison de typhus”.

Avez-vous célébré le succès des Nerazzurri ? “Pour la première fois depuis que je vis à Milan, je ne suis pas allé voir le derby en direct. J’ai préféré être avec mes proches. Mais dimanche, je regarderai le match contre Turin et j’en profiterai pour féliciter le grande famille de l’Inter”.

Parmi les joueurs, qui mettez-vous sur le podium cette saison ?

“Ils méritent tous de monter sur la plus haute marche du podium. Mais si je dois vraiment citer trois noms, je choisis Lautaro Martinez, Marcus Thuram et Benjamin Pavard.”

Et parmi les entretiens réalisés jusqu’à présent, quels joueurs vous ont donné le plus de satisfaction ?

“Ce sont trois anciens footballeurs qui, grâce à leur éducation, leur gentillesse et leur attrait, se sont révélés être de grands champions même en dehors du terrain : Ibrahimovic, Del Piero et Totti.”

Des opportunités ont eu grâce à Dazn.

Je me souviens encore du coup de téléphone de mon agent lorsqu’il m’a annoncé que j’avais été choisi pour travailler chez Dazn : j’étais dans la voiture, je me suis arrêté et j’ai fondu en larmes de joie. Je veux ce travail depuis que je suis petite : j’ai grandi dans une petite ville qui figure à peine sur la carte. Fille de juristes, j’ai suivi leurs traces et j’ai déménagé à Milan pour étudier. Mais je n’ai jamais abandonné mon rêve. J’espère que c’est mon point de départ.”

Ce n’est peut-être pas votre rêve, mais est-ce toujours un plaisir pour vous de jouer au golf ?

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“Absolument oui, surtout maintenant que la bonne saison revient. J’ai envie de recommencer à m’entraîner régulièrement pour améliorer mon handicap : l’objectif pour 2024 est d’atteindre un chiffre (handicap entre 0 et 9). Et puis je dois être prêt à avancer. de temps. de l’événement qui aura lieu le 23 juin au Milan Golf Club, organisé par Merbag : je ne sais pas encore si j’y participerai en tant que golfeuse, j’en serai certainement la marraine… mais je le ferais vraiment. j’aime jouer quelques trous”.

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