Bozzi, le nouvel ingénieur de course de Leclerc

Nom italien, sang mi-danois, résidence romaine, études anglaises : il prend ses fonctions à Imola, immédiatement (virtuellement) sur le podium

Il a pris ses fonctions à Imola, immédiatement (virtuellement) sur le podium. C’est lui qui l’a soigné, pourrait-on dire « guidé », si l’on ne sentait pas le risque de friser le blasphème, il l’a certainement instruit : et son chauffeur, Charles Leclerc, a terminé troisième. Puis, même pas une semaine plus tard, et voilà Bryan Bozzi de retour au mur du circuit le plus symbolique et, dans le cas très spécifique de son petit ami, aussi significatif, aimé, redouté. Le voici à Monte-Carlo. Et c’est facile de dire que c’est une piste où on ne peut rien faire de mal. Où un centimètre de moins suffit et vous vous retrouvez peut-être quelques rangées derrière – irrémédiablement – ​​sur la grille. Et où avec un centimètre supplémentaire ce n’est rien de s’écraser contre les barrières. C’est généralement de cela dont on parle lorsqu’on évoque Monte Carlo : les erreurs possibles du pilote. Mais pour Charles, malgré tout ce que Monaco représente pour lui, quelque chose d’autre s’est produit. Parmi tous les malheurs qu’il a dû subir, trois étaient la faute du mur (2019, 2022, 2023). Et un du garage (2021).

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