“Agnelli peut bouleverser la justice sportive : risque de révolution”

TURIN – Avocat Spalloneselon elle, la décision de Le goudron sur les appels de Agneaux Et Bonne arrivée cela peut-il conduire à un tournant historique pour la justice sportive ?

«Il est d’abord important de replacer les faits dans leur contexte. C’est une rémission à Cour de justice européenne, afin qu’il puisse exprimer son avis sur des questions préliminaires, comme cela s’est produit lors du litige en Super League devant le Tribunal de Commerce de Madrid. Situation similaire dans le sens où le TAR du Latium a décidé, avant même d’entrer dans le fond, de renvoyer les documents à la Cour de Justice européenne afin qu’elle puisse exprimer son avis sur la compatibilité de l’art avec la législation communautaire. 4 du Code de Justice Sportive et la législation qui limite la compétence du TAR – seulement après l’épuisement des trois niveaux de justice sportive – à la seule décision à caractère compensatoire, excluant la possibilité d’annulation de la décision sportive. La Cour de Justice européenne exprimera son avis sur cette compatibilité ou incompatibilité et transmettra les documents au tribunal national, en l’occurrence le TAR du Latium, qui statuera sur le bien-fondé du recours suite à ce qui a été exprimé par la Cour de Justice européenne, comme s’est produit dans le cadre de la procédure promue par A22 pour la Super League, dans laquelle le Tribunal de Commerce de Madrid s’était adressé au Tribunal européen. Il est clair que, dans le cas où la violation des principes fondamentaux consacrés dans les traités communautaires devait être constatée, l’ensemble du système actuel de justice sportive et en particulier son caractère incontestable par le juge ordinaire serait remis en question, ce qui nécessiterait pour une intervention urgente du législateur afin de résoudre un conflit de règles entre des systèmes d’ordres différents».

Le fameux article 4 risquerait-il beaucoup en ce sens ?

«Il est important de se rappeler que l’art. 4 du CGS qui établit l’obligation de respecter le principe de loyauté de la part de tous les membres et la responsabilité objective qui en résulte des Clubs, dont la violation est à la base des sanctions même les plus sévères imposées par la Justice Sportive. Autant qu’on puisse le comprendre, l’hypothèse critique avancée par le juge administratif concerne justement la généralité excessive du principe de loyauté tel qu’énoncé, dépourvu de tout critère déterminant, d’exemplarité et de caractère péremptoire des hypothèses.».

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