F1 – F1, GP du Canada : Ferrari optimise l’adhérence arrière du SF-24

F1 – F1, GP du Canada : Ferrari optimise l’adhérence arrière du SF-24
F1 – F1, GP du Canada : Ferrari optimise l’adhérence arrière du SF-24

Ferrari n’est pas fatigué de gagner en F1. Au contraire, la rousse veut continuer à surfer sur la vague de l’enthousiasme. Dans Canada il peut certainement le faire, compte tenu des conditions météorologiques défavorables qui persisteront tout au long fin de semaine, où les phases pluvieuses devraient alterner avec des phases plus sèches. Il devient donc important pour les équipes de rouler en dessous sur l’asphalte mouillé, afin de récolter un certain nombre d’informations utiles pour ne pas être prises de court. Nous faisons référence au type de configuration le plus adapté, en essayant de décomposer les principales limitations pour trouver le maximum d’adhérence possible.

Dans la somme des différents facteurs, il y a un aspect déterminant dans F1: pneus. Utiliser les composés de la meilleure façon possible, c’est accéder à des performances optimales. Sur des surfaces humides ou mouillées, en effet, il est crucial de pouvoir utiliser parfaitement les pneus intermédiaires qui, lorsque la pluie atteint la piste, à moins qu’elle ne soit torrentielle, restent les meilleurs. composé plus efficace et polyvalent, bien plus que des « chaussures » complètement mouillé. Compte tenu des caractéristiques du parcours de Montréalon ne peut pas oublier la proximité des murs en de nombreux points de la piste. Ferrari il le sait et c’est pourquoi il a beaucoup travaillé dessus équilibre.

Charles Leclerc (Scuderia Ferrari) au volant de son SF-24 lors du FP2 – GP du Canada 2024

La plateforme aérodynamique doit être la plus stable possible, pour éviter de glisser et offrir une confiance maximale aux coureurs. En théorie Verstappen il pourrait souffrir d’un certain désavantage en ce sens, car il ne commencera à construire sa “confiance” qu’aujourd’hui, compte tenu de l’impossibilité de courir hier lors de la deuxième séance d’essais libres. Un problème avec l’ERS de sa Red Bullce qui pourrait même donner lieu à une sanction si les contrôles révèlent des dommages irréparables et sur le RB20 le n°1 sera à remplacer le magasin d’énergie ou l’unité de commande.

F1, Ferrari a su gérer les pneumatiques dans des conditions météo mitigées

Pendant le besogne assignée que les pilotes ont réalisé sur piste mouillée, avec les composés sur Intermédiaire, on peut sans aucun doute dire que l’aspect “clé” était la capacité intrinsèque de la voiture à pouvoir mettre de l’énergie sur l’essieu avant de la monoplace. Fondamental dans lequel la rousse s’est montrée décidément prête, surtout avec Leclerc, qui, par rapport à son partenaire, a montré une bonne attitude à cet égard. Compte tenu de la forme particulière du tracé nord-américain, gérer la question des composés n’est pas du tout facile.

Charles Leclerc (Scuderia Ferrari) – à bord du SF-24 – Fp2 – GP du Canada 2024

Le l’extrémité avant du F1 a mis du temps à trouver le bon Plage de travail et en plus, il avait tendance à se refroidir rapidement. Un seul tour de préparation pour atteindre une bonne température ne semblait pas suffisant, de même que plusieurs problèmes surgissaient pour la maintenir. Le cible était de stabiliser ce facteur pour accéder à un niveau d’observance adéquat. nécessaire de se lancer dans la performance avec un poignée assez. Comme mentionné, Ferrari semblait plutôt dans le coupbannissant, pour l’instant, en attendant les confirmations d’aujourd’hui, les fantômes de la qualification humide du Chine. Contexte concurrentiel, tout s’est écroulé.

Les quelques tours que les voitures ont roulés avec les pneus nappe ils nous ont fourni des résultats intéressants, accompagnés d’une légère pluie. Ferrari a pris la piste avec le composé moyen, en assemblant un besogne assignée de 13 tours. Aux premiers tours Leclerc il a subi un certain niveau de survirage, presque comme s’il y avait un manque de charge à l’arrière, remarquant plusieurs commandes déjà pendant la phase d’engagement. Après cela, avec la stabilisation générale des températures ajoutée à de meilleures conditions d’asphalte, l’équilibre du rouge semblait très bon, en fait les données les plus importantes obtenues du Fp2.

Les pilotes n’ont pas demandé de modifications particulières au installation base de pluie qui s’est donc immédiatement révélée à la hauteur. En essais libres 3 de Médecin généraliste De F1 Canadien sera optimisé le poignée à l’arrière, pour rendre encore plus efficaces deux éléments essentiels : la traction et poignée. Ferrari Il n’a pas essayé le caoutchouc Doux, il y a donc toujours un manque de retour direct sur les performances des adversaires. Observer la manipulation on peut affirmer que l’attitude de survirage reste dans la phase de sortie, un comportement partagé avec d’autres monoplaces, comme l’autre voiture à base de thiol McLaren.

Charles Leclerc (Scuderia Ferrari) à bord du SF-24 avec les intermédiaires “incriminés”, car ils étaient portés avant que la direction de course ne déclare la séance mouillée – Fp2 – GP Canda 2024

En fin de compte, la question de la traction. Phase d’accélération, nette des conditions difficiles de la piste qui doit être définie comme très bonne, puisque les commandes au volant lorsque les pilotes Ferrari mettaient l’accélérateur étaient normales et sans doute inférieures à celles de nombreuses autres voitures de F1 que nous avons regardé avec grand intérêt. De plus, Ferrari a testé la puissance endothermique maximale grâce à la cartographie Moteur 1bénéficiant d’une délivrance de puissance assez docile.


Auteurs: Alessandro Arcari@berrageizNicolas Arnerich@niccoloarnerich

Images: Scuderia Ferrari – F1Tv

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