F1, Ferrari à la compétitivité fragile. La défaite canadienne est un avertissement après l’idylle monégasque

F1, Ferrari à la compétitivité fragile. La défaite canadienne est un avertissement après l’idylle monégasque
F1, Ferrari à la compétitivité fragile. La défaite canadienne est un avertissement après l’idylle monégasque

Pour le FerrariLe Grand Prix du Canada il en a résulté un authentique défaite. Non seulement parce que les deux Reds se sont retirés, comme cela ne s’était pas produit depuis près de deux ans, mais surtout parce qu’ils avaient littéralement été j’ai été gifléen toute transparence.

Un week-end terrible pour la Scuderia di Maranello, dès les qualifications. Charles Leclerc et Carlos Sainz se sont échoués de manière sensationnelle dans T2, se retrouvant obligé de sprinter depuis le centre de la grille. Là Dimanche pluie cela aurait pu être un joker, grâce auquel les cartes auraient pu être mélangées et les capacités des individus auraient pu émerger (comme cela s’est effectivement produit dans le cas de Max Verstappen).

En revanche, rien n’a changé pour le Cheval Cabré, noyé dans l’eau de la rivière San Lorenzo. Leclerc a leatténuer d’avoir subi un problème avec le groupe motopropulseur, une dynamique qui représente cependant un malus tout-court pour l’équipe (lefiabilité ce n’est pas une option). Sainz, en revanche, n’existait pas. Frédéric Vasseur a évoqué des dommages au sol subis après le départ, auxquels l’Espagnol n’a cependant pas fait référence.

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Le résultat est celui de perdre 25 points du Taureau Rouge Dans le Championnat du monde des constructeursdonnant en même temps aussi 28 chez McLaren. Leclerc est toujours deuxième au classement des pilotes, mais a glissé à -56 par Max Verstappen, se retrouvant pourchassé par Lando Norris.

Ferrari doit être considérée entièrement en cours au moins pour le titre par équipe, la saison est encore très longue. Néanmoins, ce qui s’est passé à Montréal doit servir de cours.

La Scuderia di Maranello n’est certainement pas celle que l’on voit au Canada, où tout s’est mal passé. Cependant, ce n’est même pas celui de Monte Carlo, un contexte anormal et où cela a été réalisé le maximum de ses possibilités et où, vice versa, tout s’est bien passé.

Nous devons être conscients de ces dynamiques, sans nous laisser influencer par l’issue du moment. Le Cheval cabré est compétitif, plus qu’il ne l’était en 2023 et dans la deuxième partie de 2022, mais c’est un une compétitivité fragile, qui peut se briser à tout moment. Comme l’enchantement monégasque, brisé par la brutale réalité canadienne.

Maintenant on tourne la page, la longue tournée européenne commence. Cinq courses en six week-ends nous diront si le Championnat du monde des constructeurs cela peut être un objectif réalisable, ou bien, entre les hauts et les bas, nous devrons nous contenter d’être des protagonistes occasionnels. Toujours mieux que l’anonymatsoyons clairs, mais ce n’est pas encore ce à quoi aspirent tous les fans rouges.

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