L’équipe italienne de volley-ball arrive à Paris en force. Indoor et plage, ce sera un spectacle bleu – Volleyball.it

L’équipe italienne de volley-ball arrive à Paris en force. Indoor et plage, ce sera un spectacle bleu – Volleyball.it
L’équipe italienne de volley-ball arrive à Paris en force. Indoor et plage, ce sera un spectacle bleu – Volleyball.it

De Luca Muzzioli

Il l’a fait, une fois de plus. Le quatrième. L’entraîneur de La Plata Julio Velasco il revient aux JO pour la quatrième fois, sur le banc de la troisième équipe différente, douze ans après sa dernière participation.

Changeant, pour l’occasion, également de sexe, après deux Jeux Olympiques masculins avec l’Italie, qu’il a forgés dans la “Génération des Phénomènes” (1992 Et 1996) et, dans une seconde vie, à Londres 2012en tête la « mère » Argentine (« L’Italie est l’épouse, l’Argentine est la mère » disait un jour le Garibaldi du volley-ball, héros de deux mondes).

Le succès contre le Canada a assuré les points qui manquaient au classement pour une qualification olympique qui, en substance, avait déjà été réalisée lors de l’étape de Macao. Cependant, les algorithmes et les combinaisons improbables de résultats laissaient toujours le résultat final en suspens.

Le septième succès des Italiens dans la Ligue des Nations de Volleyball – à Fukuoka, dans le froid parc des expositions de l’ouest du Japon – représente un un autre moment de l’histoire: la septième participation consécutive du sport d’équipe national féminin par excellence aux Jeux. Peu importe qu’il n’y ait eu que 420 spectateurs pour l’enregistrer. Les Japonais, on le sait, ne se matérialisent que pour les matches de l’équipe nationale à domicile.

La qualification était pratiquement assurée dès le départ de la VNL. Davide Mazzanti il a peut-être mal fini sa relation avec l’équipe nationale, qu’il a dirigée de 2018 à 2022, mais il a laissé derrière lui les points utiles du classement FIVB pour être immédiatement le premier des ramasseurs pour la nomination à la fin de juillet et début août.

AMBITIONS – Le volley-ball au sein de la famille de la FIPAV du président Giuseppe Manfredi, à Paris, parmi les sports collectifs, compte cinq équipes.

En complément des équipes CT De Giorgi et Velasco, enfin ensemble aux Jeux (Tous les deux Velasco en 1992 et 1996 et Anastasi en 2000 ont laissé à la maison le passeur qui a remporté les trois Coupes du monde en 90, 94 et 98), il y aura trois autres équipes italiennes, mais sur le sable, dans le des terrains de beach-volley installés au Trocadéro, face à la Tour Eiffel.

Sur le terrain Il y aura Paolo Nicolai et Samuele Cottafava, qualifié pour les Jeux à partir du 29 avril ; les Bleus Valentina Gottardi et Marta Menegatti, qualifié depuis le 6 mai ; et enfin, le couple formé par Alex Ranghieri et “Mister Skyball” Adrian Carambulaqualifié il y a quelques jours, le 5 juin.

Ce que sera l’Italie celui du volley-ball et du beach-volley aux Jeux ? Quelles sont les ambitions ?

L’Italie de De Giorgi visera le grand objectif. Les rangs des champions du monde en titre l’exigent, grâce également à la poursuite de la croissance de Gianelli et compagnons. Les références sont de mise, même si jamais auparavant l’éventail d’équipes possédant les bonnes références ne s’est élargi comme à l’ère du volleyball. France Et Pologne ils seront les premiers adversaires.

Pour le équipe nationale féminine de Velasco, l’obstacle est le Quartiersune manche jamais surmontée lors des six précédentes participations des Italiens, arrêtés à la 5e place à trois reprises et seulement sixième en 2021 à Tokyo.

Dans le Beach volley, coup de projecteur sur les couples mixtes : vétérans-jeunes. Nicolai-Cottafava et Menegatti-Gottardi peuvent aspirer à un exploit et viser le podium.

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