Puis gestion, contrôle, jusqu’à la ligne d’arrivée. Martin a dépensé ce qu’il lui restait dans les deux derniers tours, se retrouvant ainsi sans défense face à l’attaque de Bastianini, le spécialiste des derniers tours. D’abord la réponse à Marquez à Scarperia, après avoir été dépassé à San Donato à trois tours de l’arrivée, puis l’attaque au dernier virage, Bucine, se glissant à l’intérieur d’un Martin abasourdi qui ne pouvait même pas réagir. Double chef-d’œuvre, capable de déplacer Claudio Domenicali, le président de Borgo Panigale, peu enclin à une certaine tendresse à la télévision mondiale. Le bonheur de Bastianini, qui rentre chez lui doublement heureux, pour la réponse donnée à ceux qui semblent avoir perdu confiance en son talent. Márquez et Acosta sont restés en dehors du podium, ce dernier n’étant jamais dangereux, tandis que Morbidelli et Di Giannantonio étaient derrière.
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