le principal gouverneur du Nord-Est, sinon il ne se présentera pas

Un vent de répit souffle au sommet du Parti National Démocratiqueoù la rencontre des dernières 24 heures entre les secrétaire Elly Schlein et le président du parti Stefano Bonaccini pour décider des stratégies en vue des élections européennes de juin, il a conclu par un message apaisant : “Travaillons ensemble”.

Bonaccini et la candidature à la tête du Nord-Est

Un feu vert substantiel, assure le bien informé, sur la candidature du gouverneur de l’Émilie-Romagne à la tête du Nord-Est, qui, lors du face-à-face, a adressé au secrétaire un avertissement qui avait le goût d’un ultimatum : «Elly – aurait-il dit Bonaccini – je suis disponible en cas de besoin. Mais c’est un choix qui aura des répercussions en Émilie-Romagne. Et ça risque de ne pas être compris par les électeurs sans la responsabilité d’un rôle de leadership.

La rencontre entre le secrétaire et le président du Parti démocrate

La relation entre le président de l’Émilie-Romagne et son ancien vice-président, devenu secrétaire de son parti après les primaires de 2023, était truffé de frictions. De la lutte acharnée pour la présidence du parti aux récentes frictions autour du non du PD au troisième mandat des gouverneurs (Bonaccini inclus), c’est de longues montagnes russes qui caractérisent la confrontation Schlein-Bonaccini depuis un an maintenant. Et l’essentiel du rôle du gouverneur compte tenu de Élections européennes en juin ne fait pas exception. En effet, entre l’attentisme proverbial du secrétaire et la volonté de clarification de Bonaccini, la question est devenue transformé en longue via crucis ce qui maintient également la discussion prochaines régionales en Émilie-Romagne.

Schlein et l’intention de nommer Annalisa Corrado

C’est sur ce point que se concentrait le message délivré à Schlein par Bonaccini, après que l’intention de se présenter comme candidat eut fuité du Nazaréen. dirigeants du Nord-Est le responsable dem Environnement, Annalisa Corrado. «Ce n’est pas mon sort qui est en jeu, mais celui de l’Émilie-Romagne. Nous avons besoin d’attention”, aurait expliqué le gouverneur, conscient que sa candidature à Bruxelles aurait des répercussions sur les élections régionales, voire sur le heures de vote (précoces) que d’un point de vue électoral : « Expliquer aux électeurs un engagement de le leader est une chose. Sinon, la mauvaise humeur pourrait s’accentuer.”

Feu vert au pas en avant du gouverneur d’Émilie-Romagne

Une sorte de soit/ou, en somme, auquel Schlein aurait répondu en reconnaissant que Bonaccini avait « toutes les conditions et caractéristiques » être lui dirigeants du Nord-Est.

La lettre concise du Nazaréen

Dans cette optique, assurent-ils de Rome, il faut lire la brève note commune que Schlein-Bonaccini est arrivée du Nazaréen : « Rencontre positive. Travailler ensemble sur les élections européennes, régional et administratif”. Cependant, de nombreuses autres pièces du puzzle manquent. Avant d’annoncer la candidature à la tête, il reste à résoudre la question de la liste: la crainte que l’Énergie Populaire, le domaine qui fait référence à Bonaccini, soit marginalisée dans les candidatures, soit dissoute d’ici la mi-avril. Direction. Après Pâques, les deux en reparleront

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