la Belle Ferronière de Léonard de Vinci – Michel-Ange Buonarroti est de retour

Le tableau du jour que je vous propose aujourd’hui est la Belle Ferronière de Léonard de Vincipeint à l’huile sur panneau de noyer entre 1490 et 1497conservé au Musée du Louvre à Paris.

Le jeune elle est représentée d’après nature dans un portrait en demi-longueur et entre le spectateur et sa présence, Léonard a interposé un parapet de style flamand.

Alors que le buste est tourné vers la gauche, la tête est en position frontale et il semble que le regard de la femme soit attiré par quelque chose en particulier.

Belle Ferronière elle porte une robe typique de l’époque dans laquelle elle vivait avec un décolleté rectangulaire selon la mode de l’époque. Sa tête est entourée d’un fin ruban de cuir orné d’un bijou avec un rubis au centre.

Reconstituer l’histoire de ce chef-d’œuvre n’est pas facile et de nombreuses contradictions existent.

On suppose que les travaux ont eu lieu déjà en 1542 dans l’Appartement des bains du roi François Ier à Fontainblea.u, ainsi que d’autres œuvres de Léonard comme la Joconde, la Vierge aux Rochers et Saint Jean-Baptiste.

La grande qualité de la peinture, les affinités techniques qui existent avec les œuvres de Léonard de Vinci et même les panneaux de l’œuvre qui dérivent du même tronc d’arbre utilisé pour le Portrait de Cecilia Gallerani, excluent tout doute sur le fait que l’œuvre puisse être d’une une autre main.

Le premier témoignage certain que nous ayons de cette œuvre remonte à 1642, lorsque le Père Dan vit l’œuvre dans la collection royale de Fontainebleau.

Vers la fin du XVIIe siècle, la Belle Ferronière entre dans la collection de Louis XIV et il fut transféré d’abord à Paris puis à Versailles, où il resta jusqu’en 1784 puis entra dans les collections du Louvre.

L’identité de la dame représentée par l’artiste reste aujourd’hui inconnue mais il existe différentes théories à ce sujet.

Amoretti, au début du XIXe siècle, a émis l’hypothèse que cela pourrait être Lucrezia Crivelli, amante de Ludovico il Moro alors qu’il y a ceux qui pensent que ça pourrait être Cécilia Gallerani représenté à nouveau toutes les quelques années ou même Béatrice d’Este.

L’appellation de la jeune fille comme là la Belle Ferronière dérive probablement de collier qu’il porte sur son front appelée ferronière c’est beaucoup en vogue parmi les filles milanaises de l’époque.

Pour le moment, votre toujours Michelangelo Buonarroti vous salue et vous retrouvera dans les prochains posts et sur les réseaux sociaux.

Le tableau du jour que je vous propose aujourd’hui est la Belle Ferronière de Léonard de Vinci, peinte à l’huile sur panneau de noyer entre 1490 et 1497, conservée au musée du Louvre à Paris.

La jeune femme est représentée d’après nature dans un portrait en pied et entre le spectateur et sa présence, Léonard a interposé un parapet de style flamand. Alors que le buste est tourné vers la gauche, la tête est en position frontale et il semble que le regard de la femme soit attiré par quelque chose en particulier.

La Belle Ferronière porte une robe typique de l’époque dans laquelle elle vivait avec un décolleté rectangulaire selon la mode de l’époque. Sa tête est entourée d’un fin ruban de cuir orné d’un bijou avec un rubis au centre d’elle.

Reconstituer l’histoire de ce chef-d’œuvre n’est pas facile et de nombreuses contradictions existent. On suppose que l’œuvre se trouvait déjà en 1542 dans l’Appartement des bains du roi François Ier à Fontainbleau, avec d’autres œuvres de Léonard comme la Joconde, la Vierge aux Rochers et Saint Jean-Baptiste.

La grande qualité de la peinture, les affinités techniques qui existent avec les œuvres de Léonard de Vinci et même les panneaux de l’œuvre qui dérivent du même tronc d’arbre utilisé pour le Portrait de Cecilia Gallerani, excluent tout doute sur le fait que l’œuvre puisse être d’une une autre main.

Le premier témoignage certain que nous ayons de cette œuvre remonte à 1642, lorsque le Père Dan vit l’œuvre dans la collection royale de Fontainebleau.

Vers la fin du XVIIe siècle, la Belle Ferronière entre dans la collection de Louis XIV et est transférée d’abord à Paris puis à Versailles, où elle demeure jusqu’en 1784.

L’identité de la dame représentée par l’artiste reste aujourd’hui inconnue mais plusieurs théories circulent à ce sujet. Au début du XIXe siècle, Amoretti émettait l’hypothèse qu’il pourrait s’agir de Lucrezia Crivelli, amante de Ludovico le Moro, alors que certains émettaient l’hypothèse qu’elle pourrait être Cecilia Gallerani, représentée à nouveau quelques années plus tard, ou Béatrice d’Este.

Le surnom de la jeune fille, la Belle Ferronière, vient probablement du collier qu’elle porte sur le front appelé ferronière et très populaire parmi les filles milanaises de l’époque.

Pour le moment, votre serviteur Michelangelo Buonarroti vous salue et vous rencontrera dans les prochains posts et sur les réseaux sociaux.

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