BM SUR LES ROUTES D’EUROPE/GRÈCE, FINALE : L’OLYMPIACOS PREND LE FACTEUR DE TERRAIN. PANATHINAKOS DÉFAITS À L’OAKA ARENA – PAR MATTEO CAZZULANI

BM SUR LES ROUTES D’EUROPE/GRÈCE, FINALE : L’OLYMPIACOS PREND LE FACTEUR DE TERRAIN. PANATHINAKOS DÉFAITS À L’OAKA ARENA – PAR MATTEO CAZZULANI
BM SUR LES ROUTES D’EUROPE/GRÈCE, FINALE : L’OLYMPIACOS PREND LE FACTEUR DE TERRAIN. PANATHINAKOS DÉFAITS À L’OAKA ARENA – PAR MATTEO CAZZULANI

Le pirate de l’Olympiacos a dominé un match pendant presque toute sa durée, et le Panathinakos, désormais, obligé de poursuivre dans la série. C’est avec un résultat surprise que s’est ouverte la finale du championnat national grec, dans laquelle l’équipe championne de l’Euroligue d’Athènes est appelée à affronter l’équipe du Pirée, déterminée, à son tour, à confirmer le titre de champion de Grèce.

Grâce à une nette victoire, même si la seule marge de cinq points pourrait laisser penser le contraire, l’Olympiacos a envoyé un signal clair à une équipe du Panathinakos affrontée, lors du premier match de la série, sans crainte. Les champions de l’Euroligue, en particulier, ont payé cher une concentration un peu en deçà des attentes en première mi-temps.

L’Olympiacos domine en première mi-temps

En effet, l’Olympiacos a débuté le match du bon pied et, grâce à Peters, Papanikolaou et Milutinov, a ouvert les hostilités avec un partiel de 5:13. Après un temps-mort demandé par l’entraîneur Egin Ataman (plus tard expulsé pour un problème technique), le Panathinakos a trouvé le moyen de réagir, prenant seulement deux points de retard à la fin du premier quart-temps.

Le tournant du match s’est produit dans la seconde moitié du match, l’Olympiacos répondant rapidement à deux avantages temporaires des hôtes avec un partiel de 2:15 qui a permis à l’équipe du Pirée d’atteindre une marge à deux chiffres.

Outre une bonne circulation du ballon, une marque de fabrique de l’entraîneur de l’équipe Georgios Bartzokas, une défense particulièrement agressive, l’équipe du Pirée provoquant 6 revirements grâce à 5 possessions volées, a favorisé le break décisif de l’Olympiacos.

Récupération tardive du Panathinakos en seconde période

En seconde période, après un troisième quart-temps équilibré, le Panathinakos, mené par Nunn, Lessor et Papapetrou, a tenté de réduire l’écart, mais n’a pas réussi à combler l’écart de six points.

Dans la dernière minute, deux triples de Sloukas ont ensuite ramené l’équipe locale à trois, à deux secondes de la fin. Cependant, l’Olympiacos était prêt dès le départ, avec la main calme de Walkup marquant les lancers francs décisifs.

Agressivité défensive et jeu interne

Sur le plan statistique, l’équipe du Pirée a pris le dessus sur le Panathinakos en termes d’agressivité défensive, comme en témoigne un ratio turnover/récupération nettement plus avantageux.

Une meilleure performance à deux points, avec 50% d’efficacité contre 45,2% accordés par les adversaires, a également été un élément décisif dans l’économie globale du jeu.

Du côté des individuels, l’Olympiacos a trouvé 17 points et 5 passes décisives de Thomas Walkup, 16 points de Nigel Williams-Goss, et surtout un double double de 12 points et 13 rebonds de Nikola Milutinov.

Du côté du Panathinakos, il convient de noter les 21 points de Kendrick Nunn, auxquels s’ajoutent les 16 points, 5 passes décisives de Kostas Sloukas et les 14 points et 7 rebonds de Matthias Lessort.

La finale au Stade de la Paix et de l’Amitié

La série se déplace désormais de l’arène OAKA, domicile du Panathinakos, au stade de la paix et de l’amitié du Pirée.

Ce sera donc ici que l’Olympiacos aura l’occasion de prolonger la série devant ses fans.

Résumé du match suivi

Panathinakos contre. Olympiacos 84:89 – statistiques

Récapitulatif des finales

Panathinakos contre. Olympiacos 84:89

Olympiacos contre. Panathinakos – vendredi 7 juin

Panathinakos contre. Olympiacos – Lundi 10 juin

Olympiacos contre. Panathinakos – à définir*

Panathinakos contre. Olympiacos – à définir*

*si nécessaire

Matteo Cazzulani

Sur la photo : Thomas Walkup. Crédits : Olympiacos / Page Twitter

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