Ancien de la Lazio, Reja : “La Roma est un endroit difficile. Sur les Tudors, les Barons et l’équipe nationale…”

Ancien de la Lazio, Reja : “La Roma est un endroit difficile. Sur les Tudors, les Barons et l’équipe nationale…”
Ancien de la Lazio, Reja : “La Roma est un endroit difficile. Sur les Tudors, les Barons et l’équipe nationale…”

Les déclarations d’Edy Reja, ancien entraîneur de la Lazio, sur la situation des Biancocelesti et sur les débuts de l’Italie à l’Euro2024 en Allemagne

Le coeur entre les deux Italie Et Albanie Pour Edy Réja, sélectionneur de l’équipe nationale des Balkans de 2019 à 2022. Samedi, il sera à Dortmund pour ses débuts, mais le soutien sera évidemment pour les Azzurri. Aux micros de Messagerl’ancien entraîneur de Latium il a parlé à la fois des Championnats d’Europe et de la situation à domicile des Biancoceleste.

Sylvinho a-t-il exploité sa piste ?

C’est un bon manager, il joue en 4-2-3-1 ou en 4-4-2, mais il a hérité d’un groupe solide et formé. Ça se passe toujours comme ça. Même à la Lazio, Petkovic a profité de mon travail pour remporter la Coupe le 26 mai. J’ai mené un changement de génération en Albanie, l’équipe nationale 2016 était sur son déclin, j’ai construit l’équipe pour ce Championnat d’Europe. Et en fait dix onzièmes sont ceux choisis sous ma direction“.

L’Italie doit-elle craindre ces débuts ?

Absolument oui. L’Albanie a un caractère très fort et, même techniquement, c’est difficile de la prendre à la légère. Beaucoup d’éléments ont mûri dans notre championnat. De Djimsiti à Ismajili, en passant par Hysaj, Bajrami, Asllani. Ramadani a réalisé une belle saison à Lecce. Ils nous connaissent par cœur et sont encore plus motivés pour nous battre“.

Qui devrait être l’observateur spécial ?

Plus d’un. Asllani, et d’emblée Broja et Manaj peuvent toujours inventer quelque chose. Bajrami a aussi un pied magique, s’il est le jour“.

Et plutôt la valeur ajoutée de l’Italie ?

L’entraîneur. Spalletti a un avantage. Je le respecte tellement parce qu’il fait jouer chaque équipe d’une manière divine. Je pense qu’il a déjà sa formation en tête, pour moi il continuera avec le 3-4-3, malgré les derniers tests pour tester tout le matériel. Peut-être qu’avec l’Albanie, il pourrait étudier une variante tactique, peut-être un 4-3-1-2. Il a eu peu de temps pour cimenter ce groupe, mais il le façonne avec ses convictions“.

Cependant, il ne contient pas de véritables échantillons.

Ils ont de bonnes valeurs, mais quelques difficultés. Et en fait Spalletti a des doutes. Il a profité des matches amicaux pour comprendre qui est en meilleure condition. C’est un moment un peu particulier pour l’Italie, il y a beaucoup de jeunes qui ont besoin d’émerger, mais ils ont peu d’expérience. Nous travaillons clairement vers l’avenir“.

Y a-t-il un risque de faire une apparition dans ce Championnat d’Europe ?

Je ne sais pas. Je souhaite le meilleur à l’équipe nationale, y compris atteindre la finale et surprendre, mais ce sera difficile. Dépasser le groupe est déjà le premier gros obstacle. Si le carburant s’alimente lentement, peut-être…“.

Des choix différents auraient-ils pu être faits ?

Je ne pense pas, alors le destin est également devenu féroce. Tonali nous manquera. les ailiers ne semblent pas au top pour pouvoir jouer le 4-3-3 comme à l’époque d’Insigne“.

Qui pourrait être la surprise ?

Je dis Scamacca, s’il trouve la continuité. Il est fort, il a de la qualité et du talent, mais il est toujours un point d’interrogation, on ne sait jamais le rendement qu’il vous garantira. Et comme lui, les autres bébés Buongiorno, Bellanova et ainsi de suite“.

Tudor était son adjoint, après trois mois il a quitté la Lazio.

Je savais que sa forte personnalité pouvait devenir un problème. Igor a ses idées et les impose au vestiaire. Il peut y avoir un rejet“.

La capitale en brûle-t-elle beaucoup ?

Rome est un endroit difficile, j’ai parlé de cadre pourri, exaspérant le concept, mais pas trop“.

Comment voyez-vous le choix de Baroni ?

C’est un entraîneur valable, il a fait deux miracles avec Lecce et Vérone. Ils ont transformé les équipes et il a fait preuve de compétences extraordinaires. À mon avis, il s’en sortira très bien. Lotito fait rarement des erreurs techniques, il fera réfléchir les fans. Les gémissements deviendront des applaudissements et tout passera“.

De Laurentiis s’est plutôt appuyé sur Conte pour oublier une saison cauchemardesque.

Il a su le convaincre, un grand coup. Et Naples redonnera à Conte l’enthousiasme qu’il a perdu en Angleterre. Les Napolitains vont encore gagner“.

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