Belluno, rafales de vent à 180 kilomètres par heure. Le toit d’une maison a été exposé : “Il avait résisté à la tempête Vaia”

Belluno, rafales de vent à 180 kilomètres par heure. Le toit d’une maison a été exposé : “Il avait résisté à la tempête Vaia”
Belluno, rafales de vent à 180 kilomètres par heure. Le toit d’une maison a été exposé : “Il avait résisté à la tempête Vaia”

Le maire de San Tomaso Agordino: «Ça a duré 15 minutes et c’était terrible, c’est comme si tous les troubles s’étaient concentrés en un seul point»

« Ce ne sont pas des mesures officielles, mais celles d’un anémomètre privé. Le vent dans notre commune soufflait à 180 kilomètres par heure, C’était terrible. Cela ressemblait à une autre tempête Vaia. ». Agordino Moreno De Val, maire de San Tomaso Agordino Moreno, est toujours déconcerté face aux effets de la tempête qui a frappé une petite partie du territoire de la zone de Belluno pendant environ 15 minutes hier soir, vendredi 21 juin. Outre la région du lac de Garde, en particulier à Riva où certains bateaux ont été endommagés par des arbres tombés, les intempéries ont également touché le Trentin et la province de Belluno. Frappant le hameau de Piaia et démolissant une maison qui avait résisté à la tempête Vaia, complètement découvert par la fureur du vent. Il s’agit d’une résidence secondaire qui appartient à une série de familles que le maire tente de retrouver pour les informer de ce qui s’est passé.

Plantes déracinées

Ce n’est pas tout, car le vent a déraciné quelques arbres sur une route éloignée du centre ville et le maire est attendu pour une inspection pour évaluer les dégâts causés par le vent : « Hier, j’étais en dehors du territoire – dit De Val – et J’ai vu des éclairs et des éclairs au loin, je n’aurais jamais imaginé quelque chose comme ça. Cette maison avait survécu à Vaia, résistant à la force de ces vents terribles, mais malheureusement elle n’a pas survécu hier. Il y a eu aussi des plants arrachés, heureusement pas dans un quartier du centre-ville, mais dans une rue voisine.” De Val conclut par une réflexion : «Malheureusement, nous sommes désormais à la merci totale des événements extrêmes – souligne-t-il – et nous ne pouvons jamais rester calmes. À tout moment, la fureur de la nature peut frapper même une zone limitée et, à chaque vague de chaleur, nous craignons ce qui pourrait arriver ensuite. Il va bien sûr falloir s’y habituer et essayer de s’équiper. Les bâtiments les plus menacés sont les plus anciens, les maisons qui ont entre 70 et 80 ans et qui ont été construites selon d’autres critères. Nous allons essayer de nous équiper au mieux pour les prochains mois”

22 juin 2024

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