Alto Garda pleure la mort de Pietro Massafra, pilier de Virtus Basket

Alto Garda pleure la mort de Pietro Massafra, pilier de Virtus Basket
Alto Garda pleure la mort de Pietro Massafra, pilier de Virtus Basket

Pour tous, il était Maffi et dans ce diminutif il y avait toute l’histoire du basket d’Alto Garda, mais aussi l’affection sincère, spontanée et reconnaissante de générations entières d’enfants qui avec lui ont découvert non seulement le basket et les premières règles de la vie et du sport.
Pietro Massafra, qui était tout pour Virtus, est décédé à l’âge de 70 ans : entraîneur, manager, joueur, inspirateur et exécutant. « Presque trente ans de Virtus – l’entreprise elle-même le célèbre – Cette Virtus la plus difficile, cette Virtus qui a grandi dans l’oratoire à l’ombre de Gs Riva devenue autonome. Cette Virtus qui avait Giorgio Galas, Enzo Santorum et Zanetti comme factotums, présidents, secrétaires, entraîneurs… Dans cette Virtus Pietro Massafra (Maffi) a grandi, dans cette Virtus il était joueur, entraîneur, manager… tout. Il faisait partie des cœurs qui battaient en rouge et blanc, pour la survie de l’entreprise, pour sa croissance. Et c’était d’une manière naturelle, franche et sincère. »
Des centaines (pour ne pas dire des milliers) d’enfants qui ont foulé le parquet (d’abord sur le béton ou l’asphalte) du début des années 70 au milieu des années 90 se sont rencontrés (soit en tant qu’équipiers, soit au mini-basketball, soit en l’ayant comme entraîneur d’équipe des jeunes). ) avec Pietro Massafra. Il a joué, enseigné, façonné. Il a enseigné les lois du sport et du divertissement (et combien de matchs il a gagné grâce à son légendaire système de « punch »).
Maffi a laissé chez chacun un souvenir indélébile, mais vraiment positif et enthousiaste. Il suffit de parcourir les réseaux sociaux ou d’écouter les protagonistes, les anciens présidents, les joueurs qui étaient alors enfants et adolescents. Maffi a marqué une époque pionnière, où Virtus était aussi une fête pour récolter des ressources, des soirées insouciantes avec des rameurs, des archers, etc., etc. Virtus le pleure comme témoin d’une époque et comme chronique fondatrice et secondaire d’une histoire qui fêtera ses quatre-vingts ans en 2024.
Massafra avait travaillé dans une usine de papier ; après son mariage, il a déménagé à Tenno et le basket-ball a toujours été son étoile directrice. Une personne formidable, un homme bon qui transmettait l’enthousiasme, la détermination d’un vrai sportif qui respecte tout le monde sur et en dehors du terrain, mais ne se retient jamais. Il était l’épine dorsale de Virtus, l’architecte d’une croissance continue, toujours disponible pour ses enfants qui l’adoraient, génération après génération.
Les funérailles auront lieu mardi à 14h30 en l’église de Rione Degasperi. Inhumation au cimetière Tenno.

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