Commerce, le « oui » de la Région à l’exonération des fermetures d’entreprises de plus d’un an

Commerce, le « oui » de la Région à l’exonération des fermetures d’entreprises de plus d’un an
Commerce, le « oui » de la Région à l’exonération des fermetures d’entreprises de plus d’un an

PALERME – Suspendez votre activité commercialede taille moyenne ou grande, pendant plus de 12 mois ne provoquera plus le déchéance de l’autorisation dès l’ouverture.

C’est ce qu’il établit la direction régionale des Activités Productives, qui a voulu clarifier, dans une circulaire adressée aux autorités locales siciliennes et aux chambres de commerce, d’industrie, d’artisanat et d’agriculture de Sicile, comment interpréter la loi, afin d’assurer l’uniformité de comportement entre les administrations municipales, à la lumière des changements survenus dans la pratique administrative suite à l’introduction d’autres éléments réglementaires collatéraux.


La circulaire part du décret législatif n° 114 du 31 mars 1998, par lequel a été approuvée la « Réforme de la réglementation relative au secteur commercial, conformément à l’article 4, paragraphe 4, de la loi n. 59″.

Concrètement, l’article 22 prévoit que « l’autorisation d’ouverture est révoquée si le propriétaire suspend l’activité pour une durée supérieure à un an ».

A suivre, comme Région à statut particulier, La Sicile a promulgué la loi régionale du 22 décembre 1999, n. 28 ans, nommé « Réforme des réglementations commerciales » qui, en ce qui concerne le territoire sicilien, dicte des dispositions concernant l’ouverture, l’agrandissement et le transfert de sièges d’établissements commerciaux. Ces dispositions réglementaires répondaient à une logique particulière, car elles étaient édictées en même temps que les règles relatives aux quotas d’autorisations.

Cette limite a ensuite été supprimée, et l’activité commerciale, notamment vis-à-vis des grandes structures de vente, a été libéralisée et affranchie de paramètres tels que le bassin d’attraction, les dépenses attirées, le compte de résultat, l’impact commercial et sur l’emploi, la distance minimale entre activités, subordonner la délivrance de l’autorisation au seul respect de l’exigence urbaine-commerciale et de vérifier l’impact sur la circulation que génère la structure commerciale sur le tissu urbain de la commune concernée.

La cinquième section du Conseil d’État s’est également prononcée sur ce point en juin 2011, en rendant la sentence n° 03919/2011 dans la juridiction.

Cette décision concerne le possibilité de suspendre l’activité d’une moyenne ou grande structure commerciale au-delà du délai d’un an défini par la loi.

Le Conseil d’Etat a précisé qu’à la suite d’une sous-entrée, c’est-à-dire d’un transfert de gestion ou de propriété d’une entreprise d’un “cédant” à un autre “cessionnaire”, l’entreprise ayant activé la procédure de mobilité des travailleurs, elle pourrait obtenir la prolongation d’un an supplémentaire, dépassant ainsi le délai légal.

« C’est pourquoi – lit-on dans la circulaire de la Direction régionale des Activités Productives -, considérant que les structures de vente moyennes et surtout grandes ne sont plus soumises à des quotas/paramètres numériques, par analogie avec la décision susmentionnée, si à la suite de la sous-entrée de l’entreprise entrante doit effectuer les travaux de rénovation nécessaires et non reportables dans les locaux utilisés pour la vente, appuyés en tout cas par des permis de construire appropriés, qui nécessitent un délai plus long, cela est considéré comme possible déroger partiellement au délai susvisé et prolonger exceptionnellement, à la demande de l’entreprise, la suspension de l’activité pour le temps nécessaire à l’achèvement des travaux de rénovation, et en tout cas dans le délai fixé par le permis de construire concerné”.

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