Un soldat refuse de porter un masque, acquitté. «Ordre illégitime, la pandémie était finie»

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L’ordre de « porter un masque lors d’une compétition était illégitime, car arrivé après la fin de la période pandémique ». Alors Mario…

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L’ordre de « porter le masque lors d’une compétition, c’était illégitime, car arrivé après la fin de la période pandémique. » Ainsi Mario F, sergent de service à Guidonia, hier (10 avril), il a été acquitté par le Tribunal Militaire de Rome. C’est ce qu’a établi la juge de l’audience préliminaire, le Dr Daniela Malchiorre. Consultant technique du parti présent Matteo Bassettispécialiste en chef des maladies infectieuses à la polyclinique San Martino de Gênes.

Pas de masque, acquitté

A l’audience, en référé, la défense a donc fait valoir que seules “l’autorité sanitaire aurait pu donner des ordres restrictifs et non les commandants” d’une caserne. Bassetti a ensuite expliqué qu'”il n’existe aucune preuve scientifique sur l’utilisation du masque chirurgical sur le lieu de travail”, alors qu’il est clair “dans des environnements où sont présentes des personnes fragiles”.

L’HISTOIRE

Mario F., commissaire de service à Guidonia, avait refusé de porter un masque lors d’une compétition. Et c’est ainsi que le soldat de l’Air Force s’est retrouvé devant le tribunal. L’homme avait en effet reçu un avertissement après que le 21 octobre 2022 « au centre de sélection pour une activité concurrentielle il ait refusé à plusieurs reprises et n’ait pas respecté de multiples injonctions de porter le masque pour couvrir les voies respiratoires. Remis conformément aux dispositions du commandant du centre de sélection de Guidonia avec la feuille numéro 1821 en date du 12-10-2022 par les supérieurs au premier degré, lieutenant et lieutenant-colonel, tous deux chargés du déroulement du concours en cours” , a-t-on lu dans le document.

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L’accusation était celle de désobéissance aggravée. De son point de vue, le militaire a soutenu que l’urgence était terminée. A l’époque, les masques n’étaient obligatoires que dans les RSA. C’est pour cette raison qu’il avait décidé de ne pas porter le dispositif de protection. De plus, avait expliqué son défenseur, la compétition se déroulait dans un très grand hangar dans la zone de Pratica di Mare. Mario F. faisait référence à cette règle: «Avec le décret législatif no. Le 24 mars, le Conseil des ministres a ordonné la levée de l’état d’urgence décrété du 31 janvier 2020 au 31 mars 2022 pour lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19″. «Mon client a expliqué pourquoi il n’avait pas tenu compte de la demande de son supérieur lors de l’interrogatoire. “L’ordre était illégitime car avec le décret législatif 24/2022 (dit décret Draghi), il n’y avait plus aucune restriction pour les concours publics à partir du 30 juin 2022”, a expliqué l’avocat Massimiliano Strampelli, professeur de droit militaire. Mario F. avait ce jour-là pour tâche d’assister les aspirants cadets. Il n’avait pas porté le masque chirurgical ni le FFp2 justement parce que le virus semblait derrière nous.

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