Accord préventif biennal, l’arrêté MEF sur la méthodologie de calcul est publié : ok du Garant de la Vie Privée

Accord préventif biennal, l’arrêté MEF sur la méthodologie de calcul est publié : ok du Garant de la Vie Privée
Accord préventif biennal, l’arrêté MEF sur la méthodologie de calcul est publié : ok du Garant de la Vie Privée

Accord biennal de préventionpremiers pas pour le décret d’application du MEF sur le méthodologie de calcul.

Le Garant de la confidentialité a approuvé le projet envoyé par le ministère de l’Économie, mais avec quelques observations visant à garantir une meilleure protection aux contribuables.

En tout cas c’est un étape importanteconsidérant que nous sommes désormais à la veille du lancement du logiciel pour le concordat biennal avec les créanciers, prévu pour 15 juin 2024les règles opérationnelles spécifiques doivent encore être « fondées ».

Accord préventif biennal, l’arrêté MEF sur la méthodologie de calcul est publié : ok du Garant de la Vie Privée

La disposition avec laquelle le garant de la vie privée a donné son accord au Décret MEF contenant les règles sur méthodologie de calcul de la composition biennale avec les propositions des créanciers.

Le projet de décret transmis par le MEF le 17 avril 2024 porte notamment sur la méthodologie sur la base de laquelle l’Agence des recettes formulera les proposition de concordat biennal avec les créanciers, dont les règles spécifiques sont déléguées par l’article 9, alinéa 1 du décret législatif n. 13/2024 à une disposition ministérielle spécifique.

Le avis du Garant de la Vie Privée s’adapte notamment sur le devant de mesures visant à protéger les droits, libertés et intérêts légitimes du contribuable en termes de décisions basées sur un traitement automatisé, mais permet de définir une première image de la manière dont le règlement proposé sera calculé par l’administration fiscale.

L’Agence du revenu pourra exploiter les données personnelles des numéros de TVA contenues dans les bases de données fiscales, relatives à l’identité personnelle et à la capacité économique, et notamment il sera possible d’examiner les informations contenues :

  • dans les ISA ;
  • dans les déclarations de revenus ;
  • dans les archives relatives aux biens meubles et immobiliers ;
  • dans les documents comptables ;
  • dans les F24 transmis sur le front du paiement et de l’indemnisation ;
  • dans les déclarations du contribuable relatives à l’absence de condamnations pénales et de délits, conformément aux dispositions de l’article 10 du RGPD, Règlement UE 2016/679.

Toutefois, ne seront pas traitées les données prévues à l’article 9 du Règlement, y compris celles révélant l’origine ethnique, les opinions politiques ou les convictions religieuses, ou l’appartenance syndicale.

Le bureau des impôts peut conserver les données jusqu’à l’expiration du droit à l’impôt et en tout état de cause jusqu’au règlement des éventuels litiges. Ils doivent ensuite être supprimés.

Garant de la confidentialité – disposition du 6 juin 2024
Approbation avec observations de l’arrêté du MEF contenant les modalités de calcul du concordat biennal avec les propositions des créanciers

Concordat biennal avec les créanciers, les données utilisées pour le calcul avec effet nul en cas de non-respect

Parmi les autres points d’intérêt prévus par la disposition du Garant figurent les règles relatives à qui ne rejoindra pas à l’accord avec l’administration fiscale.

Comme le souligne la disposition publiée le 12 juin :

“les résultats du traitement effectué dans ce cadre sont utilisés exclusivement aux fins de l’accord et la non-acceptation de la proposition n’entraîne pas automatiquement de conséquences négatives pour les intéressés, en particulier en ce qui concerne l’évaluation de leur niveau de fiscalité. fiabilité qui, aux fins de la mise en œuvre de l’art. 34 du décret législatif, reste soumis à des activités spécifiques d’analyse des risques, avec la précision qu’aucune variable déduite ou dérivée n’est construite dans le cadre du traitement (art. 6, paragraphe 8)”

Les données acquises par l’Agence du revenu ils ne doivent donc pas être utilisés pour des contrôles spécifiques prévu des numéros de TVA qui n’accepteront pas la proposition d’un concordat de deux ans avec les créanciers, en vue d’une plus grande protection des traitements effectués.

L’Agence des revenus sera également chargée de cette tâche prendre toutes les mesures nécessaires d’exclure les données personnelles inexactes ou obsolètes des données considérées, et doit donc vérifier périodiquement la qualité de celles-ci pour garantir “exactitude, exactitude, exhaustivité et cohérence».

Par ailleurs, les données des mineurs ne seront pas traitées, à l’exception de « mineurs émancipés pour lesquels sont traités exclusivement ceux liés aux activités professionnelles ».

Convention préventive biennale, décret du MEF approuvé sous réserves : les observations du Garant de la vie privée

L’approbation du projet de décret d’application par le Garant de la Vie Privée est une étape fondamentale pour arriver à son lancement définitif et à sa publication à temps, au moins pour le début des premières procédures de calcul des propositions de composition à partir du 15 juin.

La disposition du 6 juin Cela nécessite cependant quelques ajoutsnotamment sur le traitement des données relatives aux condamnations ou peines visant à assurer le respect des principes de «licéité, exactitude, transparence et minimisation».

Par ailleurs, le Garant demande que le projet de décret soit intégré :

« précisant avec plus de précision le champ d’activité de Sogei Spa en tant que gestionnaire pour le compte de l’Agence des Recettes, responsable du traitement, également en relation avec le traitement effectué pour le développement de la méthodologie soumise à approbation. »

De plus grandes garanties sont également requises en termes de respect du principe exactitude des donnéespar des contrôles périodiques. Aspects sur lesquels une intégration de l’analyse d’impact préparée par l’Agence des recettes est donc demandée.

En outre, il existe également des problèmes critiques concernant la question délicate de la conservation des données. La disposition met en évidence certaines divergences par rapport aux règles établies par le décret d’application et les documents techniques annexés.

Le dispositif envisagé par le MEF prévoit notamment que :

“les données seront conservé jusqu’au 31 décembre de la onzième année suivante à celui de présentation de la déclaration de référence, ou ils seront conservés jusqu’au délai pour la définition d’éventuelles procédures juridictionnelles ou pour répondre aux demandes de l’autorité judiciaire. SOGEI spa supprimera les données relatives aux années pour lesquelles la durée de conservation identifiée ci-dessus a expiré.”

La pièce jointe préparée par Sogei rapporte ce qui suit :

“Une procédure est en cours d’adoption pour l’anonymisation des données personnelles à l’issue de la durée de conservation susvisée.”

En substance, si dans un premier temps la suppression de toutes les données est envisagée, dans l’autre Sogei compte les archiver, anonymisés, même ultérieurement. Un point qui n’apprécie pas l’Autorité Garante, qui demande donc des modifications appropriées et la fourniture d’une annulation. en entier.

Enfin, l’analyse d’impact sera publiée sur le site Internet de l’Agence du revenu, afin de fournir aux contribuables un « liste des bases de données utilisées par l’Agence pour l’élaboration de la méthodologie »s’assurer « un haut niveau de transparence, augmentant également la confiance des contribuables dans l’utilisation de ce nouvel outil ».

Des correctifs et des mesures techniques qui obligent le MEF à réviser le décret d’application, qui arrivent désormais à l’approche du début de l’accord biennal de prévention.

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