Le livre «La loi de l’intelligence artificielle» est en kiosque chez le GdB

Quels sont les principes qui inspirent l’action européenne et quels sont-ils ? les impacts qu’aura la loi sur l’IA sur nos vies dans le prochain futur ? C’est ce dont parlent Roberto Viola et Luca De Biase dans le livre «La loi de l’intelligence artificielle» (Il Sole 24 Ore; p. 256). Le volume est en kiosque avec la Giornale di Brescia pour 12,90 euros (plus l’achat du journal).

Le livre

L’Loi sur l’IA approuvée par l’Union européenne a un objectif clair : renforcer les capacités de recherche et industrielles, tout en garantissant la sécurité et la protection des droits fondamentaux de l’individu et du citoyen. Une situation complexe mais fondamentale, car détermine notre avenir.

La façon dont nous abordons l’intelligence artificielle définira le monde dans lequel nous vivons. Contribuer à la construction d’une Europe résiliente et compétitive, les citoyens et les entreprises devraient pouvoir bénéficier des avantages de l’IAtout en se sentant en sécurité et protégé.

Roberto Violaqui a contribué à l’élaboration du cadre réglementaire européen, et Luca De Biasejournaliste expert en technologie et innovation, parle des principes qui inspirent l’action européenne, des finalités et des impacts que la réglementation européenne aura sur nos vies à l’avenir.

Les auteurs

Roberto Viola Il est directeur général des politiques numériques et de l’intelligence artificielle à la Commission européenne (DG Connect). Il a été secrétaire général d’Agcom. De 1986 à 1999, il a travaillé à l’Agence spatiale européenne (ESA) où il a occupé diverses fonctions, notamment celle de chef de la section des systèmes de télécommunications. Il a publié de nombreux articles scientifiques et enseigné dans plusieurs universités.

Luca De Biase il est journaliste, écrit sur l’innovation sur Il Sole 24 Ore et La Svolta, est auteur et voix de Rai Radio 3, professeur aux universités de Pise et Luiss et directeur de l’écologie des médias chez Reimagine Europa. Il a remporté le prix James Carey pour un journalisme exceptionnel en matière d’écologie des médias en 2016.

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