la politique locale comme service à la communauté

Même si j’ai choisi d’éviter l’exhibitionnisme politique à travers des communiqués de presse continus, en me limitant à des interventions ciblées lorsque cela est jugé nécessaire, j’exprime aujourd’hui ma satisfaction pour un énième examen réussi dans son ensemble par l’administration municipale.

communiqué de presse

Je souligne « dans son ensemble », car une promotion ou un échec n’appartient jamais à une seule partie mais à tous, à tous ceux qui ont été élus pour assurer l’administration d’une Ville. C’est précisément selon cette manière de concevoir l’engagement dans la politique locale, très différente de la politique nationale pour des raisons évidentes, que j’ai donné sens à mon rôle d’édile : collaboration, suggestions, idées, votes favorables si utile, dans le seul intérêt de travailler ensemble, chacun avec leurs propres tâches et responsabilités, petites ou grandes, pour l’amélioration de la Ville.

Un travail qui ne se fait pas avec une baguette magique, mais souvent avec des difficultés et des retards bureaucratiques, un manque de personnel, une attente patiente de voir tôt ou tard les résultats souhaités. Cette conception de la politique locale, pour laquelle il ne s’agit pas de se montrer homme d’État ou de changer le destin du monde, mais plus simplement d’améliorer sa propre réalité, exige que l’inutile logique antagoniste des campagnes électorales ou plus souvent des ultras oublier les courbes, trouver des intentions communes, travailler vers des objectifs et des projets concrets.

Je revendique fièrement d’avoir contribué, avec certains membres de mon groupe initial, à surmonter le risque d’un mandat de commissaire lors du précédent obstacle budgétaire, permettant ainsi d’approuver le PSC et de poursuivre les nombreux projets qui sont sur le point de changer la ville. , du centre historique au problème des Roms, de la nouvelle salle de sport au théâtre Mitoio, des écoles à des dizaines d’autres interventions coûtant des centaines de millions d’euros. Chacun a évidemment sa propre vision de la Ville et la candidature qui m’a conduit au second tour avec le maire Mascaro n’a pas signifié que, par la suite, nous ne pouvions pas collaborer pour réaliser et réaliser des travaux et des projets importants.

À la politique habituelle, capable de « s’opposer » (?) ou de changer de camp en fonction d’intérêts personnels, de partis et de raisonnements électoraux, je dis que la vraie politique est celle qui place les objectifs réels de la communauté et de son propre territoire avant tout autre intérêt. .

De cette expérience, je retiendrai en moi le fait que le véritable obstacle à l’administration d’une commune est d’abord de « devoir croire ou être politique » sur la base de ce que j’appellerais une interprétation idéologique, avant même de comprendre que nous sont de simples administrateurs locaux, des ouvriers au service du bien-être de ses concitoyens et de la beauté du territoire. La droite, la gauche, le centre, le haut et le bas, une fois les élections terminées, ne sont qu’une diversion et un obstacle à une administration correcte. Une fois le mandat terminé, ce sont les citoyens qui doivent récompenser ou punir ceux qui ont bien ou mal gouverné.

Serai-je un idéaliste, un amateur de politique, un romantique ? Je suis d’accord avec les trois définitions. Je termine en réitérant ma satisfaction d’avoir réussi à avancer, de pouvoir garantir à la Ville une pluie bénéfique de projets, également fruit de conjectures positives, qui en tout cas ont nécessité et requièrent l’appui d’un élu, collaboratif, présent et vigilant. administration. Enfin, je remercie le maire, la conseillère Stella, le Premier ministre et le responsable du secteur, tous deux Nicotera, ainsi que et en particulier le conseiller Enrico Costantino, président de la Commission des travaux publics, qui s’est humblement engagé, travaillant même techniquement à la première personne , pour les interventions en mobilier urbain sur les places et les rues, voir certaines de mes motions, qui seront bientôt mises en œuvre.

Ici, laisser des panneaux sur le territoire, l’améliorer, à mon avis, est la seule chose sensée pour ceux qui ont reçu le vote spontané des citoyens, qui ne méritent pas d’être déçus de nous avoir accordé leur confiance.

Être élu n’est pas un mérite en soi, mais c’est un cadeau reçu de ceux qui nous ont exprimé leur estime.

J’espère qu’au cours de ces derniers mois, l’élan final permettra à Lamezia d’atteindre les résultats et les objectifs que l’on peut entrevoir et que la ville mérite, car objectivement elle est parmi les plus belles, les plus vivantes et les plus agréables à vivre de Calabre.

Ruggero Pegna
Conseiller municipal UDC
Lamezia Terme

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