L’affaire contre le commandant Zacheus est close

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«Aucun élément ne semble émerger permettant d’identifier de manière adéquate des actions visant à négliger et/ou négliger ses responsabilités managériales». ET…

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«Aucun élément ne semble émerger permettant d’identifier de manière adéquate des actions visant à négliger et/ou négliger ses responsabilités managériales». Était archivé certainement le procédure disciplinaire en direction de le commandant du La police locale de la Commune de Lecce, Donato Zacheo, qui le 29 mars – par l’intermédiaire de l’avocat Salvatore Serafino – avait présenté sa défense après les constatations faites par le secrétaire général du Palazzo Carafa. Au commandant Zacheo, qui est également président d’As.com. (Association des Commandants et Officiers de Police Locale de la province de Lecce) et directeur de l’École Locale de Police de Lecce, a été accusé d’avoir « toléré l’activité illicite persistante et systématique d’une particulière gravité » menée par certains policiers. En référence à l’enquête de la Guardia di Finanza qui a découvert en février dernier, au sein du commandement local de la police, un système basé sur l’annulation d’amendes (500 ont été comptées) en échange de faveurs.

Le commandant Zacheo – récipiendaire de dizaines de certificats d’estime de ses collègues – s’est ainsi retrouvé sous le contrôle du Bureau des procédures disciplinaires de la municipalité de Lecce en mars dernier à la suite de la maxi enquête qui a vu 46 personnes impliquées dans un réseau de corruption présumé dans le secteur de la police locale de Lecce en raison d’attitudes présumées de “tolérance à l’égard d’irrégularités dans le service, d’actes d’indiscipline, de comportements incorrects ou d’abus particulièrement graves de la part du personnel contre lequel s’exercent les pouvoirs de direction”.

La disposition relative à l’archivage

Dans l’ordonnance de licenciement longuement motivé, le Bureau des Procédures Disciplinaires écrit que « Zacheo a agi en examinant les rapports reçus, en évaluant les preuves disponibles et en activant également, dans certains cas, un dialogue constant avec les autorités chargées de l’enquête, sur la base de ce qui s’est passé dans son avis. En particulier, dans l’exercice de son pouvoir/devoir de direction, il a supervisé le bon déroulement des activités du personnel qu’il emploie, en agissant : dans les cas accompagnés de preuves suffisantes, il a déclenché des procédures disciplinaires selon l’évaluation de la documentation à son élimination; dans d’autres cas non étayés par des preuves suffisantes, elle a décidé de ne pas engager de procédure disciplinaire, mais de faire rapport aux soldats de la Guardia di Finanza et au procureur chargé de l’enquête. Par conséquent, des retours sur ses actions, sur la base des rapports actuellement déposés, aucun élément ne semble ressortir permettant d’identifier de manière adéquate des actions visant à négliger et/ou omettre ses responsabilités de gestion”.
En outre, dans l’ordonnance de non-lieu, il est souligné comment le commandant, dans sa défense, a « souligné la nécessité de respecter le secret de l’enquête et la volonté d’honorer l’obligation de secret et de ne pas accomplir d’actes susceptibles de polluer le fonctionnement du complexe et des investigations détaillées puis en plusieurs volets”. Ce n’est pas tout : Zacheo, “s’est mis à la disposition des autorités judiciaires, a informé tant les militaires de la Police Financière que le procureur de la République de tout fait et situation utile aux fins de l’enquête”.

La défense du commandant Zacheo a réussi à démontrer « l’inexistence manifeste des faits qui lui sont reprochés » ainsi que le fait qu’il a toujours agi « dans le plein respect de la loi ». «En outre – dit l’avocat Serafino – il aurait été véritablement paradoxal, dans le contexte d’enquêtes préliminaires du Parquet, de lancer une ou plusieurs accusations disciplinaires sans preuves suffisantes dès le départ, avec la double conséquence d’arriver, car, d’une part, à leur licenciement en raison de l’absence d’éléments et, d’autre part, à polluer irrémédiablement l’activité d’enquête en raison de l’identité évidente des faits”.

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