une fille avec une main qui saignait sauvée à Porta Sant’Angelo

une fille avec une main qui saignait sauvée à Porta Sant’Angelo
une fille avec une main qui saignait sauvée à Porta Sant’Angelo

TERNI – La main qui saigne, celle qui désespère et qui le dit à ceux qui l’aident avoir été attaqué et blessé à coups de couteau par un jeune homme que certains témoins jurent avoir vu s’enfuir.

Dans les histoires de fond de dégradation, avec l’ancien moulin sous la Porta Sant’Angelo, à deux pas du parc Ciaurro, qui est encore aujourd’hui un lieu d’accueil pour les sans-abri.

Pour aider le jeune homme de Terniqui, ces derniers mois, a dormi longtemps sur un matelas placé sous la Porta Sant’Angelo, l’endroit où il transaction continue d’être une amère réalité, les citoyens et les dirigeants des clubs du monde de la nuit se sont mobilisés.

La certitude est qu’elle sera transportée vers premiers secours ppour soigner les blessures aux mains causées par une arme tranchante. Un couteau, une bouteille cassée, un éclat de verre que quelqu’un a utilisé contre elle pour régler on ne sait quelle affaire inachevée.

Ce qui s’est passé jeudi soir est en cours d’examen par les enquêteurs. section opérationnelle de la compagnie des carabiniers Terni. Même si la victime, hospitalisée, n’a pas encore porté plainte, une enquête tous azimuts est en cours pour tenter de reconstituer les contours d’un épisode dont plusieurs personnes auraient été témoins.

Quelqu’un dira à la police qu’il a vu un garçon s’enfuir dans les escaliers qui mènent du vieux moulin à Via Cavour. Et pour avoir aidé la jeune fille de Terni, qui demandait de l’aide et qui avait une blessure saignante à la main qu’elle essayait de tamponner avec son pull.

Les investigations utiliseront les images tournées par le appareils photo qui surveillent le quartier, cœur de la vie nocturne de la ville. L’épisode, à première vue, me concernerait des relations pour le moins compliquées parmi les personnes qui fréquentent une zone où se retrouvent les vagabonds et les toxicomanes.

La jeune fille de Terni a été retrouvée en janvier dormir sous le vieux moulin de Porta Sant’Angelo. Son visage était enflé, plein de contusions et un hématome sur la tête. «Je ne me souviens pas de ce qui s’est passé – a-t-il déclaré à Il Messaggero – ils m’ont battu mais je ne peux pas dire de qui il s’agissait. Je sais que je n’ai pas de maison et que je suis venu ici parce que j’étais épuisé, mais je suis épuisé depuis au moins deux mois, je cherche toujours un endroit où passer la nuit. »

Ce jour-là également, l’intervention a eu lieu pour démanteler le camp dans l’ancien moulin de Porta Sant’Angelo, un lieu au cœur du centre qui a été le théâtre de expulsions répétées. Avec la police sur place à plusieurs reprises pour expulser les locataires illégaux qui l’avaient occupé.

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