Pérouse, une jeune fille de douze ans défend ses enfants contre un tyran et finit à l’hôpital : peur dans un parc

PÉROUSE – Un parc. Un après-midi de fin de printemps. Les températures presque estivales qui incitent les gens à peupler les espaces verts, avec des enfants qui jouent et des adultes qui les surveillent….

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PÉROUSE – Un parc. Un après-midi de fin de printemps. Les températures presque estivales qui incitent les gens à peupler les espaces verts, avec des enfants qui jouent et des adultes qui les surveillent. Ou du moins, c’est comme ça que ça devrait être. Mais dans ce cas, ce ne sera pas le cas.

Cela se passe à San Mariano. Comme dans tout parc ou espace public, des enfants de tous âges se rencontrent et parfois s’affrontent. Mais dans ce cas, il y a quelque chose de différent. La version officielle fait état d’une intervention jeudi soir d’une patrouille de police pour mettre fin à une dispute impliquant deux mineurs en présence de leurs familles.
Mais pourquoi une dispute entre deux filles nécessite-t-elle l’intervention de la police ? Radio Parco raconte des faits très désagréables. Ce qui se résume plus ou moins à ceci : la dispute entre les mineurs a commencé parce que l’un des deux essayait de mettre fin à la violence de l’autre envers d’autres enfants plus jeunes. Moments de forte tension, avec la jeune fille de douze ans courant pour défendre les enfants que l’autre fille (apparemment âgée de quinze ans) aurait ciblé. Les poussées et autres comportements irrespectueux, résultant d’une supériorité physique envers les plus petits, paraissaient évidemment très haineux aux yeux du jeune de douze ans. Aussi parce que, comme le dit le quartier, tous ces actes se seraient produits alors qu’un parent du jeune de quinze ans se trouvait à proximité.
La jeune fille de douze ans se serait cependant, selon les témoignages, interposée physiquement entre son camarade et les enfants qui s’étaient retrouvés dans la ligne de mire de ce qui apparaît à toutes fins utiles comme des actes de harcèlement. Un choix courageux qui n’aurait pourtant pas plu à l’autre très jeune fille. Qu’à ce stade, il tournerait ses violentes attentions vers l’autre fille. Ici, la situation s’est aggravée, nécessitant l’intervention de la police. En effet, dans un crescendo de tension, la jeune fille de douze ans s’est retrouvée au sol, se cognant la tête après une confrontation avec l’autre adolescente, qui tentait également de lui imposer sa supériorité physique en raison de son âge plus avancé.
La jeune fille a été immédiatement transportée aux urgences de l’hôpital Santa Maria della Misericordia pour évaluer les éventuelles conséquences de la chute. Heureusement, il n’a pas subi de blessures particulièrement graves, mais force est de constater que cet épilogue a conduit à l’appel au 112. La police est arrivée sur place et a procédé à toutes les investigations et constatations nécessaires. Compte tenu d’un pronostic bien inférieur aux quarante jours nécessaires selon la loi Cartabia pour pouvoir porter plainte officiellement contre les auteurs de gestes violents, ce sera aux parents de l’enfant de douze ans de décider s’ils doivent déposer plainte. une plainte ou laisser tomber.

BATAILLE AU CENTRE
Une mauvaise histoire mais pas la seule du week-end qui vient de se terminer dans laquelle des jeunes ont été impliqués. En effet, samedi soir, une intervention assez urgente de la police a été nécessaire dans le centre historique où une violente bagarre entre deux groupes de jeunes avait été signalée. Une bagarre, comme c’est le cas dans ces cas-là, déclenchée par des problèmes que la police qualifie généralement de futiles : un regard sale, un commentaire déplacé et voici comment, peut-être aussi grâce à quelques verres de trop, la tension explose dans un quelques moments. Dans ce cas, l’arrivée de la police a immédiatement mis fin aux affrontements, les garçons appartenant aux deux groupes étant rapidement partis se faire arrêter.

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Le Messager

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