enquêtes anti-amiante sur trois bâtiments pour les réaliser d’ici mars 2026

enquêtes anti-amiante sur trois bâtiments pour les réaliser d’ici mars 2026
enquêtes anti-amiante sur trois bâtiments pour les réaliser d’ici mars 2026

Un projet de logements sociaux temporaires destiné à accueillir les sans-abri ou ceux qui sont sur le point de se retrouver à la rue commence par des investigations visant à vérifier qu’il n’y a pas d’amiante dans les matériaux de construction de trois logements. Il a été financé par l’Union européenne, à travers le Pnrr, et sera développé en trois points, à proximité du stade et dans le quartier de la Vigne. Pour être précis, il s’agit de la via Maratona 36, ​​de la Via del Mare 495 et du premier étage de l’ancien immeuble « Montecatini » de la via Vigne 83-85.

Avec un investissement de 500 mille euros, des appartements seront créés pour être attribués pour une durée limitée aux personnes sans abri ou à ceux qui sont sur le point de se retrouver dans cette situation, par exemple suite à des expulsions combinées à des conditions économiques particulièrement précaires.

Mais avant de passer à la conception, il est nécessaire de s’assurer que dans les environnements identifiés à cet effet, il n’y a aucune trace d’amiante dangereuse à éliminer. Le temps presse, car le Pnrr lie les fonds alloués à des délais stricts : dans ce cas, l’intervention doit être achevée d’ici mars 2026. C’est pourquoi la municipalité a récemment confié à l’entreprise Buda Fabio Lavori Edili, basée à Longiano, un travail qui ne vaut que plus de 1 000 euros, pour traquer un éventuel amiante. Il devra donner sa réponse d’ici la mi-juin.

L’idée au centre du projet est de mettre à la disposition des personnes sans toit, des appartements autonomes, sans passer par le dortoir. Le tout en bénéficiant de l’accompagnement d’une équipe d’assistantes sociales directement au domicile. La prestation, lorsque les locaux seront prêts, devrait impliquer dans un premier temps une dizaine de personnes. Le tout avec la perspective de créer des parcours de soutien et d’accompagnement qui permettent à ces hommes et femmes de vivre de manière autonome, en éliminant le risque de marginalisation sociale. La logique est celle du “logement d’abord”, c’est-à-dire la reconnaissance qu’une possibilité d’intégration sociale pour ceux qui se sont retrouvés en marge ou qui risquent de s’y glisser vient d’abord du fait d’avoir une maison où ils peuvent vivre même dans les cas où ils n’ont pas les qualifications nécessaires pour accéder au logement public, même s’ils ne disposent pas des ressources nécessaires pour trouver un logement sur le marché libre.

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