Palerme, accusée d’actes sexuels avec le fils de 17 ans de son partenaire

Palerme, accusée d’actes sexuels avec le fils de 17 ans de son partenaire
Palerme, accusée d’actes sexuels avec le fils de 17 ans de son partenaire

04 juin 2024, 06h30

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PALERME – C’est une mauvaise histoire. Depuis une femme Que aurait eu des rapports sexuels avec un garçon de 17 ans, fils de sa compagne. Il l’aurait forcé sous la menace et le chantage à céder à ses pulsions.

“J’ai fait une erreur, je suis tombée amoureuse de luimais c’était une relation consensuelle”, se défend-elle.

Le prévenu est âgé de 40 ans. Les amis du garçon comparaissent à la barre des témoins, après que la victime a confirmé les accusations. Ils sont tous très jeunes et l’étaient au moment des faits, il y a quatre ans.

C’est ensuite au tour de la femme de subir l’interrogatoire du défenseur, l’avocat Domenico La Blasca, et les questions du procureur et de la présidente Monica Sammartino.

Il reconnaît avoir eu des rapports sexuels. Cela s’est également produit alors que d’autres étaient à la maison. Ils s’enfermaient dans la pièce ou attendaient que tout le monde s’endorme.

C’était une erreur, mais cela limite le début des événements aux mois précédant les dix-huit ans du garçon. L’accusation les antidate plutôt à l’époque où il n’avait pas encore 17 ans.

La femme ajoute qu’elle a dénoncé son père pour harcèlement qui, cependant, prétend avoir insisté avec des messages et des appels, masquant la véritable raison du désir de rétablir la relation, à savoir connaître le plus de détails possible sur l’affaire.

C’est le père de la victime, constitué partie civile avec l’assistance de l’avocat Stefano Santoro et artisan de profession, qui découvre avec désinvolture la relation morbide entre son fils et sa compagne. Tous deux séparés et avec des enfants, ils avaient décidé d’emménager ensemble.

Comment l’histoire a-t-elle été révélée ? L’accusé avait consulté une voyante à qui il avait demandé son avis sur ce qu’il faisait. Une trace de la conversation est restée sur le téléphone portable de la femme. Le fils décide finalement de se confier à son père.

Il a parlé des actes sexuels et de la contrainte présumée. Du refus de l’argent de poche à l’interdiction d’utiliser la voiture lorsqu’il est devenu adulte : cela aurait été des représailles si le garçon avait refusé de se soumettre à des demandes sexuelles répétées.

Il profiterait longtemps d’un jeune de dix-sept ans qui il la considérait comme une seconde mère. L’abus de son autorité en tant que concubine du père constitue une circonstance aggravante.

Publié le

04 juin 2024, 06h30

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