Bourses, 130 jeunes quittent la Toscane pour étudier à l’étranger

Florence, le 11 juin 2024 – Durant l’été de Toscane ils partiront vers 130 enfants étudier à l’étranger : ce sont des jeunes qui viennent de terminer le cursus de formation pour pouvoir affronter au mieux les défis éducatifs et de formation des pays étrangers. C’est ce qu’a annoncé Intercultura, une association bénévole qui organise et finance des programmes éducatifs grâce à des bourses. mobilité scolaire internationale expliquant que s’il existe « un grand désir d’internationalisation », il existe aussi « une possibilité économique concrète d’y parvenir : les plus de 1 100 Bourses d’études pour couvrir tout ou partie des frais de participation”.

En Toscane, plus de 60% des lauréats du concours, explique-t-on encore, “pourront effectuer une période scolaire à l’étranger grâce à une contribution financière (prise en charge partielle ou totale de la totalité des frais de participation) d’Intercultura et d’entreprises , institutions et fondations qui, à travers les activités de collecte de fonds de la Fondazione Intercultura, soutiennent le projet éducatif, parmi lesquelles : l’association Prospettiva Casentino, Intesa Sanpaolo, Giunti Psychometrics”. Quant à la destination, « 32,5 % voleront en Europe, 29,5 % en Amérique latine, 18,5 % au Canada et aux États-Unis ; 11,5 % en Asie, 4,5 % entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande et 3,5 % en Afrique. Les Etats-Unis, la République Dominicaine, le Brésil, la France, la Thaïlande, le Royaume-Uni, l’Uruguay et l’Afrique du Sud sont les dix pays qui accueilleront le plus grand nombre d’étudiants toscans”.

Par ailleurs, « l’année scolaire classique à l’étranger reste la durée par excellence, choisie par près de 42% des étudiants, tandis que 26,5% resteront à l’étranger pendant un semestre et 14% pendant un trimestre. Les 17,5% restants seront à l’étranger cet été pendant entre quatre semaines et deux mois. »

PREV Collecte de fonds pour la Chorale : “Fêtons nos 50 ans”
NEXT Cordoni élu par acclamation. Il est président de Confcommercio “Avec moi pas de fusion avec Pise”