Mort de Provvidenza Grassi sur le périphérique de Messine en 2013 : les responsables du TAS acquittés en appel – AMnotizie.it

Mort de Provvidenza Grassi sur le périphérique de Messine en 2013 : les responsables du TAS acquittés en appel – AMnotizie.it
Mort de Provvidenza Grassi sur le périphérique de Messine en 2013 : les responsables du TAS acquittés en appel – AMnotizie.it

En fin d’après-midi du 11 juin 2024, la Cour d’appel de Messine, deuxième chambre pénale (président Dr Sagone, Dr Orlando, Dr Cannizzaro) a totalement réformé la sentence prononcée par la première chambre du tribunal de Messine en janvier 2017. contre Gaspare Sceusa, Letterio Frisone et Maurizio Maria Trainiti pour l’accident de la route survenu en juillet 2013 sur le périphérique Pa-Me, près du viaduc de Bordonaro, et à la suite duquel la jeune femme est décédée Providence Grassi.

Les responsables du TAS avaient été appelés à répondre du crime d’homicide involontaire aggravé. La condamnation en première instance a été motivée par le Conseil (alors présidé par le Dr Letteria Silipigni) sur les résultats d’une consultation technique fournie par l’expert. Pirri, au nom du parquet, a conclu qu’une barrière placée à proximité de la voûte du tunnel, plutôt qu’à 40 cm comme on l’a trouvé sur place, aurait empêché la chute du viaduc et la mort du passager qui en aurait résulté.

Tous les prévenus et le responsable civil, Consorzio Autostrade Siciliane, avaient fait appel de ce jugement, sur le point (d’ailleurs commun à toutes les défenses) qu’aucune barrière n’aurait pu empêcher l’événement étant donné que – selon les conclusions du parti consultants – c’est le premier impact de la voiture contre la paroi du tunnel, à grande vitesse, qui a produit les blessures constatées lors de l’autopsie par le Dr Ventura-Spagnolo sur le corps de la jeune fille qui, en outre, n’utilisait pas le siège ceintures.

Pas même à la suite de l’évaluation ordonnée par la Cour d’appel et confiée à l’ingénieur. Santi Mangano, le procès a surmonté les arguments de la défense susmentionnés et a donné au procès la certitude raisonnable qu’un emplacement différent de la barrière aurait évité la mort de la malheureuse femme.

En outre, à la suite de la nouvelle enquête, il est également apparu ce qui avait toujours été soutenu par la défense depuis le premier niveau de jugement, à savoir que le directeur général du TAS de l’époque (l’ingénieur Maurizio Maria Trainiti) et le directeur du les Techniciens de l’Unité Opérationnelle des Services (Arch. Letterio Frisone) n’ont joué aucun rôle dans les travaux de réaménagement des tunnels A/20 au cours desquels les barrières ont été éliminées, tandis que l’ingénieur. Gaspare Sceusa, bien qu’assumant les fonctions de Gestionnaire Unique de la Procédure, n’a jamais autorisé l’installation de la section terminale de la barrière avec des méthodes différentes de celles prévues dans le projet initial. signé par l’expert. Fortunato Aveni qui avait également assumé la direction des travaux.

Interviennent dans la défense : l’avocat. Giuseppe Pustorino (pour l’ingénieur Gaspare Sceusa) ; l’avocat Valter Militi assisté de l’avocat. Luigi Azzara (pour l’architecte Letterio Frisone) ; l’avocat Carmelo Galati (pour l’ingénieur Maurizio MariaTrainiti) et l’avocat. Giuseppe Lo Presti assisté de l’avocat. Francesco Torre (pour le directeur civil du Consortium des autoroutes siciliennes).

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