Entreprise de Pesaro dans la ligne de mire, escroquerie de 15 millions sur les fonds Pnrr déjouée : arrestations et saisies

Entreprise de Pesaro dans la ligne de mire, escroquerie de 15 millions sur les fonds Pnrr déjouée : arrestations et saisies
Entreprise de Pesaro dans la ligne de mire, escroquerie de 15 millions sur les fonds Pnrr déjouée : arrestations et saisies

Pesaro, le 18 juin 2024 – Entreprise de Pesaro au centre du fonctionnement de l’unité de police économique et financière de Pesaro appelée “Le carrousel s’est arrêté.” Les flammes jaunes exécutées 3 ordonnances de garde à vue conservatoire données personnelles contre le même nombre de suspects, une mesure de disqualification préventive contre un quatrième homme et convulsions devis pour un montant supérieur à cela 490 mille euros. Les ordonnances et arrêts ont été émis par le juge des enquêtes préliminaires du tribunal de Pesaro, à la demande du Parquet européen (Eppo) de Bologne. L’activité nous a également permis de bloquer les demandes illicites de financement publicdoté des fonds du Pnrr (Plan National de Relance et de Résilience), pour plus de 15 millions d’eurosqui aurait été attribué par Simest (une société appartenant à Cassa Depositi e Prestiti).

Tout a commencé par une enquête sur un Srl située à Pesarobénéficiaire de financement subventionné et garanti par l’État etUnion européenne attribuable à un sujet qui semblait être administrateur et actionnaire unique.

L’hypothèse avancée par les enquêteurs qui ont enquêté sur l’entreprise de Pesaro était celle de fraude aggravée pour obtenir des fonds publics. Des investigations ultérieures ont ensuite permis d’identifier d’autres cas similaires de prestations publiques demandé et obtenu en partie en faveur d’autres sociétés ayant leur siège social à Ravenne et Bolzano. Ils seraient 15 cas de fraude aggravée ont été documentés concernant de nombreuses demandes de financement pour soutenir les entreprises italiennes dans leur processus d’internationalisation, pour lesquelles, grâce à la collaboration active du SIMEST, le décaissement a été évité pour un montant supérieur à 15 millions d’euros.

Le mode opératoire concocté par les suspects, selon les enquêteurs, était si bien pensé qu’il a même réussi à surmonter les contrôles effectués par les organismes concédants, créant ainsi un « meilleures pratiques » de l’arnaque.

Selon l’hypothèse de l’accusation, les prévenus ont créé ou repris des sociétés par actions qui, en réalité, étaient des boîtes vides, dépourvues de toute opération commerciale ou financière, avec des sièges sociaux et des unités locales totalement inexistants ou imputables à de simples sociétés. des services de domiciliation, entretenus spécifiquement pour escroquer les organismes chargés de débourser l’argent public. En effet, les sociétés utilisées n’avaient pas n’a jamais soumis les déclarations de revenus requisescertains même depuis plus de 20 ansmais les suspects ont pris soin de créer “sur papier” au moins deux états financiers totalement faux montrant des revenus de plusieurs millions, en les déposant électroniquement au Registre du Commerce, commettant ainsi, selon l’accusation, le délit de fausse communication d’entreprise.

Ils ont ensuite présenté à Simest une série de demandes de financement, en partie également non remboursables, garantis par l’État ou avec des fonds européens, les motivant par le désir d’internationaliser l’entreprise, de développer le commerce électronique ou d’accéder aux marchés étrangers. Ils ont ainsi réussi, selon les enquêteurs, à tromper le gestionnaire des ressources, obtenant ainsi un premier décaissement du financement qui a été immédiatement détourné des comptes courants de l’entreprise par des retraits systématiques d’espèces aux distributeurs automatiques ainsi que par des virements bancaires également en faveur d’autres sujets (personnes physiques et sociétés) en dehors de la structure sociale.

Des investigations plus approfondies ont permis d’identifier un “direction technique” qui aurait été réalisée par un comptable qu’il aurait créé de faux bilans de millionnaires, qu’il aurait fait tout son possible pour les transmettre et les déposer au Registre du Commerce et pour modifier aussi bien les contrats avec les fournisseurs (qui étaient également inexistants et mis à disposition, selon les enquêteurs). hypothèse, du même comptable), et les relevés bancaires préparatoires à l’obtention des tranches d’argent ultérieures. Les trois autres suspects n’ont toujours officiellement eu aucun revenu. Les perquisitions de domiciles et de bureaux ont été principalement réalisées dans la province de Salerne. Elles ont été réalisées avec le soutien de soldats du Groupe Salerne et d’une unité canine spécialisée dans la recherche d’argent, les « cash dogs », mises à disposition par la Compagnie Guardia di Finanza de Capodichino.

PREV Secteur jeunesse : Gênes Under 10 remporte le tournoi « Catanzaro Perle de la Ionienne »
NEXT Le football entre branding territorial et géopolitique