BRINDISI.Cobas en protestation : rassemblements devant l’usine Enel de Cerano contre les licenciements de SIR

BRINDISI.Cobas en protestation : rassemblements devant l’usine Enel de Cerano contre les licenciements de SIR
BRINDISI.Cobas en protestation : rassemblements devant l’usine Enel de Cerano contre les licenciements de SIR


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Le syndicat Cobas organise des réunions jeudi 20 mars à partir de 6 heures du matin devant l’entrée de la centrale électrique Enel à Cerano pour expliquer à tous les travailleurs de l’entreprise la gravité des provocations perpétrées par l’entreprise Sir.

L’entreprise SIR, lors de la réunion tenue lundi 17 juin à l’Arpal de Brindisi, via Torpisani, à l’occasion de la procédure de licenciement de 76 travailleurs engagés jusqu’à hier dans le contrat de déchargement du charbon, a réitéré qu’elle souhaitait procéder aux licenciements en éliminant toute possibilité de licenciement. .

La grave provocation du SIR provient du refus des organisations syndicales à la proposition de l’entreprise selon laquelle en cas de recours au fonds de licenciement, les travailleurs devraient en payer les frais à travers l’annulation des accords de deuxième niveau.

C’est pour cette raison que Cobas s’est adressé au préfet de Brindisi, Luigi Carnevale, pour une nouvelle réunion afin de le mettre au courant de la situation devenue dramatique ; ainsi que la demande d’une autre nouvelle réunion à Bari au sein de la Task Force Régionale sur l’Emploi en présence d’Enel et du SIR, les mêmes sujets de la dernière réunion où des engagements ont été pris par le SIR pour l’utilisation du fonds de licenciement.

Les faits : la loi sur les filets sociaux prévoit qu’en cas de cessation d’activité il peut y avoir un an d’indemnité de licenciement.

Le SIR, lors d’une réunion au sein de la Task Force Régionale sur l’Emploi, dirigée par le président Leo Caroli, avait accepté l’utilisation du fonds de licenciement d’un an.

Cela nous aurait permis d’avoir le temps d’essayer d’obtenir les investissements alternatifs promis par Enel, qui à un moment donné ont disparu.

D’une manière effrontée et incroyable, le SIR demande aux syndicats que les travailleurs qui restent au travail renoncent à ce qu’ils ont obtenu au fil des années grâce aux accords de deuxième niveau, à commencer par les chèques-repas et bien plus encore.

Face à la réponse négative de tous les travailleurs, le SIR déclare qu’il n’entend pas supporter les coûts, minimes pour ceux qui ont beaucoup gagné chez Enel, du fonds de licenciement et qu’il entend poursuivre sur la voie des licenciements.

Le syndicat Cobas fera des propositions de lutte lors des réunions et est prêt à rejeter les provocations de l’ENEL et du SIR et à élever les barricades pour défendre tous les travailleurs de la centrale électrique de Cerano.

Pour Cobas Roberto Aprileù

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