mauvais pour les temps d’attente

ANCONA – Promu, mais seulement avec la note de passage. En ces jours d’examens, la région des Marches tombe aussi dans le piège des évaluations. Et précisément, c’est le système de santé qui se retrouve sous la loupe du Crea, le Centre de recherche économique appliquée à la santé, qui a dressé un classement des performances régionales.

Affiner le résultat

Notre résultat est sans infamie et sans éloge, comme l’ont décidé les 104 experts du Crea qui comptent des chercheurs et des professeurs d’université dans les domaines de l’économie, du droit, de l’épidémiologie, du génie biomédical et des statistiques médicales. Dans la fourchette entre zéro et un utilisée comme paramètre dans le rapport, notre évaluation s’établit à 46% : loin des 0,26% de Calabre ou des 0,27% de la Basilicate, mais aussi des 0,6% de Vénétie, de 0,55% du Piémont et 0,53% de la Toscane. Nous nous plaçons plutôt dans le « groupe de suffisance » avec des régions comme le Frioul-Vénétie Julienne, l’Émilie-Romagne, la Ligurie, le Val d’Aoste et la Lombardie. En considérant que le six politique démarre à 0,45%, on est juste au-dessus : on peut faire mieux.

Qu’est-ce qui marche, qu’est-ce qui ne marche pas

En entrant dans le détail du rapport « Opportunités pour la protection de la santé : performances régionales », nous observons que dans les Marches, il existe de meilleures valeurs que la moyenne italienne dans des segments tels que les dépenses de santé standard totales par habitant, le taux de faible ou à -les personnes à risque (âgées et pauvres) qui bénéficient d’interventions d’intégration sociale, ou le taux de non-autonomie des plus de 75 ans en matière de soins résidentiels sociaux et sanitaires. Nous faisons également mieux que la moyenne en termes d’espérance de vie sans limitations fonctionnelles (plus de 65 ans), de taux de population ayant des modes de vie corrects, de taux d’hospitalisations évitables pour pathologies chroniques et de taux de personnes âgées soignées en maison intégrée. se soucier. En ce qui concerne les points sensibles, nous obtenons des résultats moins bons que la moyenne des autres régions en ce qui concerne la proportion de personnes qui renoncent aux services de santé (pour des raisons économiques, la distance, les listes d’attente interminables, les horaires inopportuns), la mobilité passive en raison de sa complexité faible et moyenne, pour la part des prestations de priorité B (c’est-à-dire dans les 10 jours suivant la prescription) réalisées dans les délais, dans l’indice de mise en œuvre du réseau d’oncologie, dans la part des opérations réalisées avec des techniques mini-invasives et dans l’indice de santé mentale.

Le revirement

La propension des personnes à se faire soigner dépend également des performances que les systèmes de santé régionaux sont capables de garantir. Considérant qu’en 2023 9,7% des habitants des Marches qui en avaient besoin ont renoncé aux services de santé (notamment en raison de listes d’attente trop longues) – et ce chiffre est en augmentation par rapport à 7% – il est nécessaire de changer d’étape.

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Courrier Adriatique

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