Grève totale des travailleurs du Terminal Métallique de Gênes

Grève illimitée et réunion interlocutoire au sein des autorités du système portuaire pour les travailleurs du Terminal Métallique de Gênes du groupe Steinweg et de la filiale Csm – Centro Smistamento Merci, 55 personnes travaillant sur les terminaux, en attendant la réunion prévue mardi au Palazzo San Giorgio, où ils seront analysés les questions au centre du conflit. Les syndicats Filt Cgil, Fit Cisl et Uiltrasporti dénoncent dans une note : « Des conditions de sécurité précaires, des relations syndicales inexistantes ainsi que des attitudes qui sont perçues par les salariés comme hostiles et oppressives et qui, pour certains travailleurs, sont considérées comme « gênantes ». ont donné lieu à des licenciements illégitimes”. Une situation qui dure depuis un certain temps, expliquent certains travailleurs, depuis le changement d’orientation du terminal en 2022 avec une situation devenue plus rigide malgré un engagement toujours très fort pour atteindre les records de production du terminal. «Mais face à cela, les relations se sont durcies, il y a eu d’abord des rétrogradations de travailleurs, des réductions des heures supplémentaires jusqu’à des licenciements que nous considérons comme injustifiés, d’abord d’un travailleur blessé et, il y a quelques jours, d’un chef d’équipe qui était des irrégularités dans l’utilisation du 104 ont été signalées”.

La situation à l’intérieur du terminal est en effet très grave. “Nous sommes tous très tendus – expliquent les travailleurs – parce qu’il n’est pas facile de travailler avec la peur d’être accusé d’erreurs et d’être sanctionné ou même de perdre son emploi”. Nous attendons donc maintenant le 25 juin, date à laquelle aura lieu une réunion consacrée au conflit au sein des autorités du système portuaire, poursuivant la grève et la protestation « de ces travailleurs, qui ont contribué de manière significative, malgré les problèmes de ces dernières années, à ce que jamais. de nouveaux records de production des entreprises – concluent les syndicats – ils reçoivent en échange une attitude d’entreprise qui n’est plus acceptable. C’est pourquoi nous disons Assez à cette situation. Nous le faisons avec la grève et la lutte qui se poursuivent ces derniers jours et nous continuerons jusqu’à ce que nous constations un changement concret.”

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