amiante et dioxine, l’alerte demeure

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amiante et dioxine, l’alerte demeure

ANCÔNE Un court-circuit. C’est l’hypothèse la plus plausible prise en considération par le parquet, qui, avec la procureure Irène Bilotta, a ouvert un dossier (pour le moment…

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ANCÔNE Un court-circuit. C’est l’hypothèse la plus plausible prise en considération par le parquet, qui, avec la procureure Irene Bilotta, a ouvert un dossier (actuellement contre des inconnus) pour l’incendie qui a dévasté DS Smith Recycling, l’entreprise de via Caduti del Lavoro, à Baraccola, spécialisée dans la gestion des déchets non dangereux. Pourtant, une enquête à 360 degrés est en cours, sans rien exclure, pas même une intention malveillante, même si aucune trace d’effraction n’a été constatée. La cause accidentelle reste la plus probable, même si pour être sûr les spécialistes de la NIA (Fire Investigation Unit) des pompiers devront accéder au hangar d’où le déclencheur serait survenu, peut-être à partir d’un panneau électrique à proximité d’un compacteur. Mais cette partie de l’usine reste toujours interdite d’accès car le toit n’est pas sécurisé.

Les prélèvements

Le parquet attend également les résultats du prélèvement Arpam, toujours en cours pour éviter les risques de nuage toxique. Les valeurs des particules fines auraient grimpé en flèche à Baraccola, du fait de la combustion de tonnes de papier et carton. Le risque est que des substances toxiques, telles que des dioxines, des métaux et des hydrocarbures, se propagent dans l’air. Un autre sujet de préoccupation est le fait que sur les toits des deux entrepôts effondrés, il y aurait des traces d’amiante qui auraient pu être dispersées dans l’atmosphère, poussées par le vent. Arpam a installé des compteurs d’air supplémentaires dans le périmètre autour de la caserne de pompiers, 9 détecteurs dans 8 points de collecte. Mais d’après une première analyse, le réseau d’eau de la zone n’aurait pas été contaminé par l’eau utilisée pour éteindre l’incendie qui s’est déclaré mercredi soir et qui n’est pas encore complètement éradiqué.

En effet, hier encore, lors des opérations de déblaiement, des incendies ont été allumés ici et là, qui ont été immédiatement éteints. Et un nuage gris s’élève constamment de l’usine, visible à des kilomètres. Le nettoyage va encore se poursuivre aujourd’hui : deux camions et trois containers roll-off brûlés par les flammes doivent être évacués à l’extérieur, ainsi que trois chariots élévateurs incinérés sous l’autre hangar. À l’heure actuelle, il n’est même pas possible à l’entreprise de formuler une hypothèse sur une estimation des dommages, aussi considérables soient-ils. L’ensemble de la zone reste sous saisie. En attendant les résultats de l’Arpam, les directives émises par la Commune restent en vigueur : l’accès à la zone rouge est interdit, les activités commerciales sont fermées en zone orange en attendant la fin du nettoyage des rues, du port du masque et du lavage des appareils électroménagers. est recommandé et les légumes cultivés dans des jardins privés avec eau courante dans la zone jaune, qui s’étend sur un rayon d’un kilomètre autour du lieu de la catastrophe.

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