le rapport final de l’édition 2024 a été publié

Avec la publication du rapport final, l’édition 2024 du « TEF – Taranto Eco Forum » se clôture officiellement.

Un document de synthèse substantiel des travaux réalisés les 23 et 24 mai derniers, au siège du “Département Jonien des systèmes juridiques et économiques de la Méditerranée : société, environnement, cultures” de l’Université de Bari “Aldo Moro”, est l’acte final de l’événement organisé par Eurota ETS et RemTech Expo, avec le haut patronage du Parlement européen et en co-branding avec la municipalité de Tarente, ainsi qu’avec le soutien du partenaire principal ENI et de quelques autres partenaires tels que Edison Next et CTE Calliope.
Comme prévu depuis les premières réunions du comité technico-scientifique, présidé par Vito Felice Uricchio (Commissaire extraordinaire pour les interventions urgentes de réhabilitation, d’environnement et de réaménagement de la région de Tarente), l’héritage du TEF 2024 est une « carte » détaillée de la discussion. qui s’est développé lors des huit tables rondes dédiées aux thématiques choisies cette année : « Intelligence artificielle, réelle innovation », « Sécurité des entreprises », « Responsabilité sociétale des entreprises », « Bioremédiation, valorisation et valorisation des déchets », « Économie bleue, entre mer et portuaire », « L’eau, une ressource précieuse à protéger », « Énergies renouvelables, production et échanges » et « Mobilité durable, le transport du futur ».
Avec 94 contributions de haute profondeur technique et scientifique, le rapport TEF 2024 se présente comme un guide actualisé par rapport aux évolutions qui se produisent dans les secteurs de l’environnement et de l’innovation, notamment par rapport aux indications provenant de l’Union européenne. avec les principes de la « transition juste ».
«Nous voulons proposer à l’ensemble de la communauté ce « livre blanc » de la transition juste, équitable et durable pour tous – a expliqué Patrick Poggi, président d’Eurota ETS – afin que les citoyens puissent se familiariser avec ses principes et que les acteurs puissent approfondir ses applications. . C’est pourquoi nous avons décidé de le rendre public et utilisable, ainsi que de le mettre à disposition de notre réseau de relations : c’est un patrimoine partagé qui guidera mieux les choix de chacun. Nous envisageons d’établir une table de discussion institutionnelle basée précisément sur le contenu du rapport, afin que le jeu de la transition juste se joue sans exclure les territoires et les personnes”.
Parmi les nombreuses idées que l’on peut trouver dans les plus de 60 pages du document, il est en effet utile d’en souligner certaines qui ont marqué la centralité du TEF 2024 dans le débat national général : les investissements dans les sources d’énergie alternatives et l’hydrogène en particulier. ; l’interaction entre différents systèmes de transport, l’utilisation de biocarburants et, bien sûr, l’impressionnant projet BRT de Tarente ; l’utilisation de la responsabilité sociale des entreprises comme levier de durabilité ; les nouvelles frontières du recyclage chimique des plastiques ou de la valorisation des déchets aéroportuaires ; le grand défi de la protection des sources d’eau dans une perspective d’économie circulaire ; la sécurité dans les entreprises comprise comme une valeur et non comme un coût ; le développement de la chaîne d’approvisionnement de l’économie bleue avec des innovations matérielles, l’utilisation de carburants alternatifs et de centrales renouvelables offshore ; l’intelligence artificielle avec ses implications positives dans la gestion de la production manufacturière, mais aussi les implications éthiques et juridiques que son abus peut entraîner.
Le rapport contient également deux éclairages importants : le premier sur le contenu du « Manifeste de la Science » présenté par l’Association Italienne des Scientifiques, le deuxième sur la troisième édition de « l’appel à startups » de l’accélérateur Faros de CDP Venture Capital. Enfin, le document contient également une synthèse des travaux réalisés au cours de la session internationale caractérisée par plus de 100 connexions en streaming, pour un total d’une trentaine de pays impliqués (dont le Pérou, le Brésil, le Maroc, les États-Unis, l’Autriche, la Grèce, le Bangladesh et, bien sûr, bien sûr, Italie), désormais une particularité du « TEF – Taranto Eco Forum ».

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