Lettre à la rédaction : Ivano Mazzani parle du calvaire de sa mère de 89 ans et remercie l’équipe de Medicina Ravenna

Lettre à la rédaction : Ivano Mazzani parle du calvaire de sa mère de 89 ans et remercie l’équipe de Medicina Ravenna
Lettre à la rédaction : Ivano Mazzani parle du calvaire de sa mère de 89 ans et remercie l’équipe de Medicina Ravenna

Quelques jours plus tard, le chef du service médical, le Dr Sama, est venu me voir, à ma grande surprise, et cela a commencé sans exclusivité, une discussion et une manière de planifier et de prendre en charge la non-santé de ma mère avec l’intervention comme traitement médical. équipe, du Dr Catenaro, Emiliani et Servadei et également de la même école primaire.

Il y a eu une discussion avec eux, lorsqu’ils étaient présents tour à tour dans la salle, sur la manière dont ils planifiaient les investigations, les thérapies, la pharmacopée et sur la manière d’agir en équipe intégrée dans les différents rôles et manières professionnelles.

Je parle des infirmières, des infirmières, des multiples jours d’hospitalisation, après cette sortie précipitée, voire risquée, du 25 mai.

Chacun dans ses rôles et ses différences a construit ensemble un échange, tant sur le plan humain que professionnel, dans la réalité d’une patiente fragile comme ma mère.

Un travail quotidien capable de gérer les différents problèmes physiques mais aussi psychologiques et critiques de soins de ma mère.

Cela valait aussi pour moi, certainement pas d’un point de vue thérapeutique ou pharmacologique, mais pour la condition de relation et de comparaison et d’échange et de soutien qui était un atout important aussi pour revoir et rediscuter avec moi-même, car aussi « j’ai une hospitalisation vécue, qui ne devrait pas affecter les soi-disant sains mais qui devient au contraire problématique dans une continuité temporelle où se retrouve la souffrance et où sa propre souffrance est aussi chez soi.

Alors mes sincères remerciements à toute l’équipe médicale du quatrième étage, dans tous leurs rôles et mon soutien au service public de santé pour ce qu’il peut servir.

Soutien total, aux droits et à la dignité de toutes les personnes, des patients, de leurs proches, des professionnels qui y travaillent dans différentes responsabilités et pour cette raison, nous devons maintenir notre propre criticité d’observation et de pensée en tant que citoyens ; que le système de santé publique et donc aussi l’hôpital soient de plus en plus renforcés, évalués, aidés et financés.

Car selon l’enquête Nomisma d’il y a quelques jours dans notre région, une question très critique soulignée par les citoyens est celle du service public de santé mais aussi du service social.

Un système de santé publique et hospitalière, non seulement pour son efficacité et ses thérapies, son éthique et sa capacité professionnelle et ses réponses diagnostiques rapides, mais surtout pour l’importance de son patrimoine qui doit être et rester de plus en plus la référence pour la bonne santé publique et individuelle.

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