De X Factor à Ancône, sur la Piazza del Papa c’est l’heure de Tropea : « Heureux de jouer dans les Marches » – News Ancona-Osimo – CentroPagina

De X Factor à Ancône, sur la Piazza del Papa c’est l’heure de Tropea : « Heureux de jouer dans les Marches » – News Ancona-Osimo – CentroPagina
De X Factor à Ancône, sur la Piazza del Papa c’est l’heure de Tropea : « Heureux de jouer dans les Marches » – News Ancona-Osimo – CentroPagina

ANCONA – Tropea, le groupe milanais qui a participé à la seizième édition de L’occasion? Il s’agit clairement de celui des mercredis universitaires créés par le conseiller municipal pour la jeunesse et la vie nocturne, Marco Battino.

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Le rendez-vous, sur la Piazza del Plebiscito, connue pour tous comme Piazza del Papa, est à 21h30. Ainsi, après Sofia Cagnetti (cliquez ici) et Leonardo (Atarde) Celsi (cliquez ici) – deux illustres Ancônais pour avoir participé respectivement à Amici (sur Canale 5) et au Concertone del Primo Maggio – vient le groupe milanais, né en 2017.

Fondé à Milan, le groupe est composé de Pietro Lupo Selvini (chant), Lorenzo Pisoni (basse), Domenico Fizio (guitare et chant) et Claudio Damiano (batterie). Ensemble, ils apporteront à Ancône les sons qui les ont toujours distingués.

“Nous sommes très heureux se produire dans les Marches. Votre pays – explique le batteur Damiano – fabrique de magnifiques synthétiseurs. Dans les Marches – poursuit-il – se trouvent les meilleures usines d’instruments de musique d’Italie. Ancône ? Nous n’étions que de passage, mais nous avons fait un concert à Fano et, personnellement, j’ai un ami à San Benedetto del Tronto.”

Damiano, quel message aimerais-tu faire passer à travers ta musique ?
«Plus qu’un message, nous aimerions que notre musique prenne une valeur pour quelqu’un, liée peut-être à un souvenir, une sensation, une expérience, une personne».

Vous êtes une référence de la scène underground grâce à votre puissance live et votre capacité à explorer différents genres. Quels conseils donneriez-vous à un jeune qui rêve de musique ?
«Curiosité : cela peut paraître anodin, mais ce n’est pas le cas. Il faut être curieux et ne pas se laisser happer uniquement par les choses du moment. Si vous voulez faire de la musique, vous n’êtes pas obligé de simplement poursuivre quelque chose que vous voyez faire par les autres. A cette époque, la musique pleut sur nous, la recherche n’existe plus. Si l’on veut faire ce métier, le talent c’est bien, mais la recherche est fondamentale, tout autant que la curiosité, l’exploration des différents styles musicaux et l’étude. Le talent doit être motivé par quelque chose de rationnel, de concret.”

Et si je dis « X Factor » ?
«Je réponds que ce fut une expérience merveilleuse, certainement pas reproductible. On ne peut pas essayer ça tous les jours – plaisante-t-il – c’est quelque chose qui sort de la réalité, on vit avec d’autres personnes, on est ballotté ici et là, puis il y a les émissions de télévision en direct qui sont vraiment exigeantes. D’un point de vue psychologique, c’est un coup dur, il faut être préparé, mais il faut être convaincu de ce que l’on veut faire. Tous ceux qui passent par le talent ne parviennent pas à poursuivre leur carrière. Même si le but de ces programmes est de lancer des talents, ils sont plus susceptibles de tuer. Mais en même temps, nous avons rencontré des personnes qui nous ont beaucoup apporté tant sur le plan professionnel qu’humain. Et puis nous avons joué au Forum et au concert du 1er mai.”

Qu’avez-vous appris au cours de ces sept années de carrière ?
«Ce qui marche à la télévision, c’est la vérité. Même si l’on dit que la télévision est une fiction, et c’est en grande partie le cas, lorsqu’il s’agit de talent, la vérité l’emporte toujours. »

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