à partir du 2 juillet, au Musée Brettii et Enotri de Cosenza

La troisième édition de la critique littéraire estivale de l’administration municipale

Lorsqu’un format révèle son succès, on ne peut s’empêcher de tout faire pour confirmer pleinement sa démarche. C’est le cas de “Aperoncino”, la critique littéraire promue par l’administration municipale dirigée par le maire Franz Caruso et conçue par la conseillère déléguée à la Culture Antonietta Cozza, et maintenant dans sa troisième édition. Cette année aussi, comme les deux années précédentes, l’événement animera les soirées de juillet dans le cadre splendide du cloître du Musée Brettii et Enotri, un authentique joyau du centre historique de Cosenza. Cela commence le mardi 2 juillet, à 18h30, avec la présentation du livre « Dove la luce » de Carmen Pellegrino, publié par « La Nave di Teseo ». Le programme de la soirée comprend les salutations institutionnelles du maire Franz Caruso. L’écrivain Assunta Morrone et la journaliste Rosa Cardillo dialogueront avec l’auteur. Au programme également, des incursions musicales de l’auteur-compositeur-interprète de Cosenza, Daniele Moraca. Ainsi, la formule et la philosophie de “Aperarancio” restent inchangées, mêlant, dans un heureux mélange, l’apéritif du soir, le lieu – le cloître évocateur du Musée Brettii et Enotri – l’encre des livres qui seront présentés pendant les trois soirées. de l’initiative, et la musique comme excellent corollaire. Pour cette troisième édition de « Aperoncino » la coordination artistique a été confiée à Antonella Falco.

Aperoncino : à partir du 2 juillet, au Musée Brettii et Enotri de Cosenza

Carmen Pellegrino, auteur du livre “Dove la luce”, qui sera présenté mardi 2 juillet, est une écrivaine et historienne qui a raconté quelques questions saillantes de la contemporanéité, depuis les mouvements de dissidence collective jusqu’à la récupération plus récente de l’expérience historique de lieux inhabités. Avec son premier roman, « Cade la terra », de 2015, il a remporté le premier prix d’œuvre Rapallo Carige et le prix Selezione Campiello. Cependant, avec son deuxième roman “Si je reviens à ce soir ensuite”, de 2017, il remporte le prix Dessì. Pour “La nave di Teseo”, il a publié “Le bonheur des autres” en 2021, avec le prix Sélection Campiello et le prix littéraire international Latisana. En 2023, elle a reçu le prix English Pen Translates. Avec “Où la lumière” Carmen Pellegrino signe un roman magique qui est une descente vertigineuse dans la mémoire des lieux et des hommes qui les ont peuplés, jusqu’à la redécouverte de la vie cachée et infinie qui les habite encore. Une voix libre qui erre dans les jardins et les âmes, et ne se perd jamais. L’histoire se déroule à Rome, en avril 1987. Milo est un homme qui a tout perdu par la faute des autres, extrêmement dévoué à la mort – qu’il invoque tous les jours, mais qu’il n’a pas le courage de s’infliger – et contraints de vivre dans la rue. Federico Caffè est le professeur, un personnage enveloppé de questions destinées à ne jamais recevoir de réponses. Le premier est un personnage (peut-être) fictif, le second un homme qui a réellement existé, parmi les protagonistes du débat politique et économique des années 1980 et partisan convaincu de la nécessité d’assurer des niveaux élevés d’emploi et de protection sociale aux classes les plus faibles. . Sa disparition soudaine est un mystère toujours entier, sa rencontre avec Milo est une nouvelle énigme. L’action se déplace ensuite à Postiglione, en février 2023. Un narrateur prend en charge la mémoire de sa famille, retrace les épreuves et les joies de la dette d’amour que nous devons tous envers nos racines. Les vies de Milo et du Professeur entrent ainsi dans l’histoire d’une femme, d’un pays, de toute une génération en lutte, partagée entre haine et mélancolie pour une époque qui, peut-être, ne reviendra jamais. Prochains rendez-vous de « Aperoncino » le lundi 8 juillet, avec la présentation du livre « Lafortuna del Greco » de Vincenzo Reale, publié chez Rubbettino. Antonio Pagliuso dialoguera avec l’auteur, tandis que les interventions musicales seront confiées à Manuel Sottile. Grande finale, jeudi 18 juillet, avec la présentation de « Dimenticami Dopodomani » (Rubbettino) d’Andrea Di Consoli, avec qui Daniel Cundari s’entretiendra. Les performances musicales seront de Sasà Calabrese.

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