Déchets à Caserta, le nouveau cours commence: service confié à Sieco

C’est officiel. Ce sera le Si.Eco. spa de Bari pour gérer le service d’hygiène urbaine de Caserta, à partir de la deuxième semaine de juillet et vraisemblablement pour…

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C’est officiel. Ce sera là Si.Eco. spa à Bari pour gérer le service d’hygiène urbaine de Caserta, à partir de la deuxième semaine de juillet et probablement pour les douze prochains mois. Tar Campanie si cela est permis, bien sûr. L’attribution du marché a en effet été contestée par le Isvec srl, l’entreprise qui gère la collecte des déchets dans la ville sous un régime d’extension depuis environ un an et qui occupe la deuxième place. Le tribunal administratif régional statuera ensuite sur l’appel 24 octobreentre-temps, par une ordonnance du 21 juin, le TAR n’a ni accepté ni rejeté la demande de suspension d’Isvec, permettant ainsi au Commun procéder à l’attribution du contrat. Les plaintes du Cisl et de l’Uil n’ont servi à rien, car ces derniers jours, ils ont rejeté la décision de l’organisme, soulignant des problèmes critiques et des inconvénients pour les travailleurs du secteur au cas où lors de l’audience sur le fond, les juges s’exprimeraient favorablement à l’Isvec. . Par décision managériale numéro 698 du 28 juin, l’administration communale a donc procédé à la nomination du nouveau Ru (Personne unique responsable de la procédure) en la personne de l’architecte Raffaele De Rosa, qui a succédé au gérant Giovanni Natale, assigné à résidence depuis le 13 juin à la suite d’une enquête du parquet de Santa Maria Capua Vetere à laquelle ont également participé le conseiller municipal Massimiliano Marzo, le gérant Francesco Biondi, le fonctionnaire Giuseppe Porfidia et le l’entrepreneur Gioacchino Rivetti (tous assignés à résidence). De Rosa devra donc désormais adopter toutes les actions nécessaires pour exécuter la disposition d’attribution et le passage conséquent du chantier de construction. La réunion avec les syndicats pourrait avoir lieu dès cette semaine.

De la Municipalité, ils ont fait savoir que celui de collecte des ordures c’est un service public essentiel dont la sécurité doit être garantie continuité mais qu’il n’est plus possible, ni techniquement ni légalement, de procéder à de nouvelles extensions de l’Isvec. “Considérant que le TAR n’a pas identifié d’éléments de gravité et d’urgence de nature à suspendre l’efficacité de la disposition contestée – lit-on dans la résolution managériale – cette dernière doit être considérée comme exécutive et l’entreprise qui réussit peut donc exiger son exécution”. Mais ce n’est pas tout. L’administration souligne ensuite qu’Isvec a déjà bénéficié de multiples prolongations, entre août 2023 et juin 2024, et qu’une nouvelle prolongation ne pourrait être justifiée et autorisée par la loi que dans le cas où la légitimité de la mesure adoptée contre Si .Éco. était considéré comme extrêmement douteux. Cependant, ce n’est pas le cas. Par conséquent, si l’organisation avait décidé de ne pas attribuer l’appel d’offres à Si.Eco. en attendant l’audience du 24 octobre, il lui aurait encore fallu interrompre la collaboration avec Isvec et identifier un troisième opérateur, appelé en urgence pour réaliser le service. Une option assez problématique compte tenu de la durée limitée de la mission qui finirait par décourager la disponibilité d’un grand nombre, obligés de procéder à des investissements et à des réorganisations de production liés à une perspective à court terme et qui entraîneraient naturellement une plus grande passage de chantier intermédiaire en attendant l’audience sur le bien-fondé du TAR. Puis un reproche à Isvec sur les inefficacités constatées, comme en témoignent les nombreuses sanctions, pour un total de plus d’un million d’euros, infligées à l’entreprise au cours de son mandat. «La gestion actuelle du service – lit-on dans la décision – s’est révélée insatisfaisante en raison d’un série de questions critiques qui ont été contestées par les offices municipaux par divers actes”. D’où la décision de procéder à l’attribution à Si.Eco. que le TAR n’a pas suspendu. «Un modus operandi – écrit le manager Luigi Vitelli dans la détermination – conformément aux principes d’efficacité et d’efficience de l’administration car elle garantit la continuité opérationnelle, la stabilité de la gestion et une économie de temps et de ressources qui évite d’autres complications et retards procéduraux qui pourraient compromettre la qualité du service offert aux citoyens” .

D’un avis complètement différent Isvec qui, par l’intermédiaire de son avocat, fait savoir qu’elle est prête à défi cela détermine également la gestion. Pour l’entreprise d’Ischia, Si.Eco. ne répond pas aux exigences énoncées dans l’avis d’appel d’offres et la Municipalité, en adoptant la décision, qualifiée d’« irréfléchie », de procéder à l’attribution, risque d’exposer l’Institution à une demande de réparation des dommages dans le cas où le TAR lors de l’audience sur le fond reconnaîtrait les raisons d’Isvec.

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