“Il ne comprend pas l’italien.” Une Chinoise devra à nouveau passer son permis de conduire

ROVIGO – Il ne comprend ni ne parle l’italien, (aussi) pour cette raison il devra repasser son permis de conduire. Cela a été décidé par l’Autorité automobile de Rovigo, après que la police…

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ROVIGO – Il ne comprend pas ou ne parle pas l’italien, (aussi) pour cette raison il devra le refaire brevet. C’est ce qu’a décidé l’Autorité Civile de Motorisation de Rovigo, après que la police locale ait infligé une amende à une Chinoise surprise en train de conduire sans lunettes, malgré l’obligation de porter des lentilles : lors du contrôle, le malentendu linguistique est apparu, qui lui a ainsi coûté la prescription du révision. L’automobiliste a déposé un recours à Venise, arguant que les capacités de communication n’ont aucune incidence sur les capacités de conduite, mais le tribunal administratif régional de Vénétie a rejeté son recours.

LA NOTE

Au centre du problème se trouve la note rédigée en novembre dernier par la police de la circulation, pour souligner que «à l’occasion d’un contrôle normal de la police de la circulation», en plus de violer l’article du code de la route qui réglemente l’usage des véhicules En le voyant, la femme avait démontré “de fortes difficultés à comprendre la langue italienne”, à tel point que “pour lui parler”, il avait fallu “appeler sa fille”. Ainsi, en mars, la Motorisation Civile avait ordonné la révision du permis. À ce moment-là, le recours a été déposé devant le tribunal administratif régional, où la femme chinoise a reconnu pour l’essentiel le problème linguistique, se plaignant du fait que la disposition “n’était pas traduite”, de sorte qu’elle n’était pas “en mesure d’en comprendre le sens”. . contenu”. Les juges ont toutefois observé qu’en s’appuyant sur le TAR, “la requérante a démontré qu’elle avait parfaitement compris le contenu de la disposition contestée et que le but de la traduction peut en tout état de cause être considéré comme atteint”.
La défense de l’automobiliste a ensuite ajouté que le manque de connaissance de l’italien ne constitue « ni une preuve ni une simple preuve de l’absence d’aptitude technique à la conduite automobile », également parce qu’elle n’est pas prévue par la loi « comme une exigence pour atteindre (et encore moins maintenir) le permis de conduire et, pour cette raison, son ignorance ne saurait constituer un motif de réexamen”.

INFRACTIONS

Cependant, lors du procès, le ministère des Transports a souligné que le conducteur avait déjà accumulé d’autres infractions, perdant 3 points lors de chacun des trois contrôles effectués en 2019, 2020 et 2021 pour excès de vitesse. Ce n’est pas un hasard si le TAR a jugé que précisément cette “déduction d’un nombre important de points” contribuait à la mesure de réexamen, ainsi que le manque de connaissance de l’italien. Cette dernière reste en tout cas une condition nécessaire, ne serait-ce que parce que « l’examen pour l’obtention du permis de conduire italien se déroule en italien ». Comme pour dire que pour l’obtenir, il faut, ou du moins il faut, réussir l’examen théorique en italien, avant l’examen strictement pratique.

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Le Gazzettino

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